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THEORIE DU POTENTIEL NEWTONIEN
I • 1.1 , ò*U d 2 U
La connaissance des sauts brusques de et -■ — ^ ■ nous per-
dv*
d 2 U
~dz 2 “
tal
met de calculer immédiatement le saut brusque de
elïet, la somme AU de ces trois dérivées est continue puis-
, d 2 U
qu elle est constamment nulle; le saut brusque de est donc
0 Z 2
— 4-p/ (rj-f-tJ, c’est-à-dire la somme changée de signe des sauts
, . d 2 U d*U
brusques de — et
dx 2 dy 2
11 nous reste à calculer les discontinuités de ——-— et de
Calculons la première, celle de
l’expression (3) de
On a :
dU
TT
d 2 U
dx dz
dx dz dy dz
pour cela, revenons !i
dU
dJ,
dx
= Ji
+ J 2 .
d 2 U
d.i,
, dJ 2
dxdz
dz
1 dz
m
relative a \ s’annule en M 0 . Quant à J,, nous avons vu que c’est
une somme de deux potentiels: l’un de ligne, l’autre de surface.
Le premier est holomorphe en M 0 ; il ne fournit donc aucune
discontinuité. Le second, au contraire, a une dérivée normale
discontinue ; cette dérivée fait un saut brusque égal à
L-r-
dx'
puisque la densité est, d’après la formule (5), représentée par la
fonction :
0 /V
V y
y' —■>-
* dx'
et qu’au point M u , y' est égal à 1.