THÉORIE DU POTENTIEL NEWTONIEN
a et b sont des quantités positives si la direction de l'axe des /.
est celle du segment 11 A.
Le potentiel en M a pour expression :
/'»(A)
^x 2 +y 2 + (z' — z) 2 / v / x 2 + y 2 +(z / — z) '
^ (B) 47 (B)
La valeur de l’intégrale indéfinie est :
¡A 7 l°g \\ 7 -' z ) + V^ x " + y 2 + (z 7 z) 2 )•
= p/ log [QP — MP].
Remarquons que M P est essentiellement positif au lieu ([lie PQ
est doué de signe.
T. intégrale définie Y a pour valeur :
v / ] QA-|- MA
^ ~ * • ° g QB+MB ’
ce <[ui peut s’écrire :
V = log"*dbQ* = , (QA + MA)(MB + BQ)
= g' log (QA + MA) + g' log (MB + BQ) — Y log [MB 2 — BQ 2 ]
= \l! log (QA -f- MA) -f- ¡x' log (MB -)- BQ) — Y log MQ 2 .
Supposons la droite très longue, c’est-à-dire a et b très grands,
mais x, y, z finis. Nous pourrons négliger des quotients tels
que :
La somme QA-)-MA est alors très voisine de 2 a ; en cfifet :
QA + MA = 2 OA + (MA — OA) + (QA — OA).
11 su (fit de montrer que l’erreur relative commise en négligeant
les différences (MA—OA) et (QA — OA) est très petite. Voyons
d’abord la seconde différence QA — OA ; on a :
QA — OA = — OQ ;