THÉORIE DU POTENTIEL NEWTONIEN
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ce qui se réduit à :
= —A,_„ (3)
puisque A c _,. est uulle, par raison de symétrie. Rapprochons les
relations (2) et (il), nous aurons :
Ac-c- == — A c _ c . (4)
Faisons alors évanouir le cercle ('/ au point 0 de manière que
o'
le rapport— 1 — reste constant, les deux termes de ce rapport ten-
P i
dant vers zéro. Kn vertu de la relation (1), le rapport——reste
P«.
aussi constant et, par conséquent, le cercle C 0 reste invariable ;
il en résulte que A,. _ c reste fixe.
Ainsi, l’intégrale qu’il s’agit d’étudier, A c _ c , reste constamment
égale ;i une quantité fixe —A c _ c ; on peut donc écrire :
lim. A,._ c . = — A c _. e .
Montrons maintenant que A,. n’est pas nulle. Cela est presque
évident.
M
Fig. 27 bis.
Figurons à part (fig. 27 bis) les deux circonférences C 0 et C;
traçons la droite MN perpendiculaire en O ii la ligne des cen
tres. Enfin, décrivons une troisième circonférence C 2 égale a C D
et tangente intérieurement en R a la circonférence C ; cette cir
conférence passe évidemment par les points M et X. L’aire atti