LIGNES CONCOURANTES
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;essairement de
ng de Ox et de
les lignes (z 3 ),
e £cOy, perpen-
nie par
3e sur Ot avec
ni celui qui est
iré comme une
i nous apprend
t à être portée
t de / 2 , il faut
avec des axes
index Ij, I 2 , I 3
heiles de /1, de
avec le même
t les directions
> des angles de
sent comme les
i nom d'abaques
à cette variante,
baques de Lalanne
VI. Blum (Ann. des
imaginée par lui, des abaques cartésiens sur lesquels les
lignes (23) [comme les lignes (¿1) et (z 2 )] forment un
faisceau parallèle.
Remarquons d'ailleurs qu’il est inutile de porter les
trois échelles (z t ), (z 5 ) et
(z 3 ) sur les axes Ox, Oy et
Ot eux-mêmes. Les lectures
sur ces trois échelles reste
ront les mêmes si, par des
déplacements respective
ment parallèles aux index
correspondants, elles sont
reportées sur les supports
Oioq, O .¿Xi, 0 3 £c 3 , parallèles
à Ож, Oy, 0/ et formant,
par suite, un triangle équi
latéral.
On peut se donner arbi
trairement ce triangle équi
latéral, à la condition : i° que les origines Oi, 0 2 , 0 3 (ou
les points relatifs à un système quelconque de valeurs
correspondantes de z l , z 2 , z 3 ) soient simultanément sous
les index du transparent, ou, ce qui revient au même,
que les perpendiculaires aux trois supports), menées
par ces points, soient concourantes ; 2 0 que les sens
positifs sur О^, 0 2 cc 2 , 0 3 £Сз, soient ceux déterminés par
le déplacement d’un point parcourant d’un mouvement
continu le contour du triangle formé par ces trois droites,
ce mouvement ayant lieu d’ailleurs dans un sens ou dans
l’autre.
Cette seconde condition se réalise pratiquement, en
quelque sorte d’elle-même, car elle laisse libre le choix