§ 15. Die t’ourier'scben Reihen. 187
gibt dann als Wert des obigen Ansdruckes f(x), so dass man
bat: f(x) ~ 2jz J + ~ J \ ^cosn (a—x) j f(a)d<x
— Ti — 7t
Zur Charakteristik Poissons führen wir noch aus der
selben Abhandlung an :
Er sagt, die Reihe
p sin x + p 2 sin 2x- 4- p 3 sin 3x + ... .
ist konvergent für | p ] < 1 ; für p — 1 geht dieselbe über in
sin x 4- sin 2x 4- sin 3x + . . . .
» Cette nouvelle série n’est ni convergente ni divergente
et ce n’est qu’en la considérant ainsi que nous le faisons
comme la limite d’une série convergente, quelle peut avoir une
valeur déterminée ; sa valeur serait indéterminée, si on la
considérait en elle-même et directement.«
■»Nous admettrons avec Euler que les sommes de ces
séries considérées en éttes-même n’ont pas de valeurs déter
minées ; mais nous ajouterons que chacune d’elles a une valeur
unique et qu’on peut employer dans l’analyse, lorsqu’on les
regarde comme les limites des séries convergentes, c’est à dire
quand on suppose implicitement leurs termes successifs mul
tipliés par les puissances d’une fraction infiniment peut
différente de l’unité.
Man sieht, Poison steht noch vollständig auf dem Bo
den der Euler’schen Anschauungen.
In ähnlicher Weise wie Poisson sucht auch Cauchy 1 )
den Wert der F o uri er ’ sehen Reihe zu bestimmen, aber,
und das ist der Fortschritt gegen Poisson, er sucht auch
nachzuweisen, dass für p — 1 die Reihe selbst konvergiert.
1) Sur le développement des fonctions en séries périodiques. Mé
moires de l’institut YI. 1827. (lu à l’Académie le 27 février 1826.)