ce qui servira à en déterminer des limites. On remarquera, à cet effet,
que la première de ces deux fonctions de t, décroît continuellement
depuis t = o jusqu’à t=co , et que la seconde augmente d’abord de
puis t= i jusqu’à t==~, pour décroître ensuite jusqu’à ¿= oo .
En éliminant k entre les équations (17) et (18) on parviendrait à
une équation du 24 e degré par rapport à ¿, du genre des équations
réciproques, et réductible, parconséquent, à une équation du 12 e degré;
mais il sera beaucoup plus facile de calculer directement par des essais
successifs, les valeurs simultanées de k et u qui satisfont au système
des équations (17) et (18).
(140). Relativement aux six années comprises depuis 1826 jusqu’à
i83o, on a
C—0,4782, y= —— = 0,000 i45o.
Pour i=2, la quantité y- surpasserait celte valeur de y ; pour ¿=3,
ce serait cette valeur qui surpasserait l’autre quantité^-——; la valeur
de t doit donc être plus grande que deux et plus petite que trois; li
mites entre lesquelles il est facile de s’assurer que cette inconnue n’a
qu’une seule valeur possible. Après quelques essais, j’ai pris 2,112
pour cette valeur; l’équation (17) donne alors o,5554 pour celle de k;
et en substituant ces valeurs dans le second membre de l’équation (18),
on le trouve égal à 0,4785, ce qui ne diffère du premier membre que
de 0,0001 ; on a donc, avec une très grande approximation,
k = o,5554, ¿ = 2,112.
Pour les mêmes années, on a
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