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QUI SE RAPPORTE AUX ATTRACTIONS.
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, ^ dV dV dV
sont représentées par ’ gf
aux formules de M. Jellett.
, on voit que l’équation (14) équivaut, pour ce cas,
Remarquons, qu’en transformant l’intégrale (4) de la même manière dont nous avons
transformé l’intégrale (8), on obtient
_ r ( _JL_ i \ _
“ r (%n -1) J o U +/ 2 + s +g 2 " ') V(
.(16),
s+f 2 )(s + g 2 )...
ce qui donne pour n = 3 cette expression très-simple de la surface de l’ellipsoïde aux
demi-axes f g, h,
wmêrmm (17)>
formule qui se vérifie tout de suite au cas de f=g = h.
L’expression encore plus simple que donne l’équation (4), savoir,
s~% ds
2 = - 77-/ 2 g 2 A 2 Í
J 0
V(s + f 2 ) (s + g 2 ) (s + h?)
.(18),
n’est pas exempte de difficulté à cause de la valeur apparemment infinie du second
membre de l’équation.
Au cas d’une sphère, cela se réduit à
S = - 7r/ 2
ce qui serait, en effet, exact si la formule
$ m 1 ds
(1 + sy
ds
(l+s)‘ ’
Ym Yn
Y (m + n)
!
subsistait pour les valeurs négatives de m. Cela nous apprend que les intégrales de la
forme
, a = (19)
o V(s+/ 2 ) (s + g 2 )...
ne sont pas à rejeter au cas des valeurs positives de q ; il est même facile, en répétant
continuellement le procédé de réduction que nous venons d’employer, de présenter ces
intégrales sous une forme où il n’y a plus de terme infini. En m’aidant de l’analogie
de quelques formules qui se trouvent dans mon Mémoire Sur quelques formules du
calcul intégral (t. XI. de ce Journal, p. 231 [49]), je crois même pouvoir avancer que
cette intégrale doit se remplacer par
- 1
(k + st)~î -1 ds
.(20)
2 sin qir j-®V(H si + f 2 ) (k + si + g' 2 )...
où, comme à l’ordinaire, i = f — 1, et où k dénote une quantité quelconque dont la
partie réelle ne s’évanouit pas. Mais je renvoie cette discussion à une autre occasion.