130] DEUXIÈME MÉMOIRE SUR LES FONCTIONS DOUBLEMENT PÉRIODIQUES. 155
laquelle (en écrivant m = r cos 0, n—r sin 0, ce qui donne, comme on sait, dm dn = rdr dff)
devient
d’où
en prenant (logr) entre les limites convenables. Pour trouver ces limites, j’écris
(m, n) + y = r (il cos 6 + T sin 6) + y ;
ce qui donne
mod. 2 {(m, n) + y] = {r (il cos 6 + T sin 0) + y) {r (il* cos 0 + T* sin 0) + y*},
savoir, à l’une des limites
r 2 (il cos 0 + T sin 6) (il* cos 0 + T* sin 0)
+ r {y* (il cos 0 + T sin 0) + y (il* cos 0 + T* sin 0)} + T 2 = O ;
ou, en négligeant les puissances négatives de T,
T
r =
V(il cos 0 + T sin 0) (il* cos 0 + T* sin 0)
et à l’autre limite,
T
V(il cos 0 + T sin 0) (il* cos 0 + T* sin 0)
Or, en représentant ces deux équations par
r = R — <f>, r = R,
on trouve, pour la valeur de (log?-) entre les deux limites,
r =
à cause de la valeur infinie de R. Ainsi la somme cherchée est nulle ; et il est tout
clair que les sommes suivantes ^ > &c., se réduisent de même à zéro.
( m. n.
(m, nj