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CONSIDERATIONS GENERALES SUR LES COURBES EN ESPACE.
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ainsi le cône
u second ordre
>ite double, soit
èce de courbe
ce sommet est
donne que les
l’un ou l’autre
;es doubles. Il
peut être une
es. Ou encore,
une droite de
s droites. Il y
pTil n’y a que
faces du second
énérale ; 2° les
ction sera une
ulier, la courbe
du quatrième
e l’on n’obtient
o-qucirtique. Je
ous-espèces tant
le cône U = 0
l ou p = 3, on
évident par les
droites doubles
3s circonstances,
(mais non pas
ment). Mais il
Ire, l’on aurait
e, et l’ordre du
courbe. Peut-
rdre.
S = 0, T = 0 donnent lieu à un assez grand nombre d’équations de la forme w = q
(en représentant deux quelconques de ces équations par
P P'
w ~ Q ’ W ~Q' !
on aura toujours PQ’ — P'Q = Mil), c’est-à-dire on obtient par une telle élimination
plusieurs surfaces monoïdes dont chacune coupe le cône II = UV = 0, selon la courbe
d’intersection complète de deux surfaces S = 0, T= 0. Mais il ne s’ensuit pas (même
en admettant que l’on ait de cette manière toutes les surfaces monoïdes qui passent
par l’intersection complète), que l’on ait toutes les surfaces monoïdes qui passent par
la courbe du m lhne ordre ; en effet il peut y avoir des fonctions P', Q' lesquelles, sans
P'
donner PQ' — P'Q = MUV, donnent cependant PQ' — P'Q = MU, et, cela étant, w= - f ÿ
Q
serait une surface monoïde qui passerait par la courbe du m ième ordre.
P.S. On déduit sans peine la théorie des courbes situées sur une surface du second
ordre (voir ma Note “ On the curves situate on a surface of the second order,” Pkil.
Mcig., July 1861, [314], et les savantes recherches que M. Chasles vient de publier dans
les Comptes Rendus). En effet, en supposant que la monoïde soit une surface du second
ordre (hyperboloïde) et que son équation soit w = - , alors, puisque le cône U = 0, du
Z
m ieme ordre, doit rencontrer le plan z = 0 selon les seules droites x = 0, y = 0, il faut
que ces droites soient des droites multiples du cône U = 0, et en prenant p, q des
nombres tels que p + q = m, on peut supposer que les deux droites soient des droites
multiples des ordres p et q respectivement ; et cela arrivera si U (fonction homogène
du m n ‘ me ordre en x, y, z) contient ccP pour la plus haute puissance de x, et y q pour
la plus haute puissance de y. Car en arrangeant selon les puissances descendantes de
y, on aura
U = y q {x, z) v + y q ~ x z{x, z) p + ...,
ce qui fait voir que x = 0, z = 0 sera une droite multiple du p ième ordre, et de même
y — 0, z—Q sera une droite multiple du q’ ème ordre. On a donc selon la notation de
M. Chasles
U— M (x p , y q ),
en se souvenant qu’ici U contient aussi la coordonnée z.
r = 0 sont des
éliminant entre
is il y a plus :
3 les équations
Suite.—Courbes du quatrième ordre.
Toute surface du second ordre est une surface monoïde, et on peut prendre pour
sommet un point quelconque de la surface. En effet, en considérant un point quel
conque de la surface du second ordre, soient
x = 0, y = 0, z = 0,
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