34 NOTE Süß LES FONCTIONS al (x), &C., DE M. WEIERSTRASS.
Cela étant, en posant
[307
on obtient
et de là
ï =
X
vr
dz
1 dz
d 2 z
_ 1
d 2 z
dx
~\/%dÇ’
dx 2
~k
dÇ 2 ’
dz
dz
d 2 z
= k
d 2 z
w
= ^ k Tx ’
d?
dx 2 ’
k = k,
x dz dz
~ 7= H 7~
dz x dz
L’équation différentielle devient ainsi
d 2 z dz
k S + 2¥x % + 2æ (æ+a Ê)+**■*=°-
c’est-à-dire
d~z 1 + k 2 dz 9 ,, 2
(/¿e 2 k X dx dk
+ x 2 z = 0,
équation qui sera ainsi satisfaite par
al (Æ)> Mæ),* tAjÙ,’
Or en écrivant
l’équation en z devient
(1)
k + -j- — a,
d 2 z n dz _ , „ .. cfe „ .
- + 2ax -= 2 a--! T + = 0,
2 dx K ' da
dx
laquelle est ce que devient celle-ci
d 2 z
dx 2
(J'2 Z fl Z fl 7
(2) (1 - ax 2 + x i ) +(n - 1 )(ax - %/?) ^ - 2n (a 2 - 4) ^ + n (n - 1) a?z = 0,
cia
en y écrivant _ au lieu de x, et puis n—co. L’équation (2), trouvée par Jacobi
vn
(Journal de Crelle, t. iv. p. 185, 1829), a la propriété que voici, savoir en posant
«-‘4
alors l’équation est satisfaite en prenant pour z soit le numérateur, soit le dénominateur,
de la fonction rationnelle de x qui donne la valeur de la fonction V\sinam|j^., xj ,
où X, M sont le module et le multiplicateur qui correspondent à la transformation de
l’ordre n (n étant un nombre impair quelconque).