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SUR LES SURFACES DIVISIBLES EN GARRES PAR LEURS COURBES [517
ce qui se réduit tout de suite à
(adh + a'dk) { [a (Aol' + B/3' + Cy')- a' (Aol + B/3 + Gy )] dh
- [a (Aol" + B/3" + C'y") - a' (Aa' + B/3' + Gy')] dk] ;
en formant les expressions analogues du second et du troisième terme, et en prenant
la somme, l’équation devient
[E(Aa! + B A' + Cy')-F (Aol + B/3 + Gy) ] d/d
+ [E(Aa" + B/3" + Gy") -G(Aa + B/3 + Gy )] dh dk
+ [F(Aa” + B/3" + Cy") - G (Aa' + B/3' + Gy')] dk 2 = 0,
ou, ce qui est la même chose,
dk 2 , — dh dk, did
E, F, G
Aa+B/3+Cy, A a' + B/3' + Gy', A a" + B/3" + Gy
= 0;
celle-ci est l’équation différentielle des courbes de courbure d’une surface quand les
coordonnées x, y, z d’un point de la surface sont données comme fonctions de deux para
mètres h, k.
En supposant F = 0, l’équation se réduit à
(Aa' + B/3' + Gy' ) (Ed/d - Gdk 2 )
+ [(Aa" + B/3" + Gy") E-(Aa + B/3 + Cy) G] dh dk = 0 ;
et en supposant de plus A a' + B/3' + Gy = 0, l’équation se réduit simplement à dhdk — 0;
mais cette équation Aa' + B/3' + Cy' = 0, savoir
a, h , c
= 0,
a', h', c'
< P, 1
dx
dy
dz
d/i
dh ’
dh
dx
dy
dz
dk
dk ’
dk
d 2 x
ddy
d 2 z
dh dk ’ dh dk ’ dh dk
et aussi F= 0, subsistent dans le cas actuel; et nous avons ainsi dkdh = 0 pour
équation différentielle des courbes de courbure.