708]
NOTE SUR LA THÉORIE DES COURBES DE L’ESPACE.
13
et de même
XY 2 — X 2 Y= hc 2 (f 2 a 2 — h 2 c 2 CT + g 2 b 2 œr/c),
X Fi — Xj Y = f 2 a (g 2 b 2 — f-a'-p + h 2 c-Wp).
Donc
a Xv gb2 (h2c2 “ +
b
H— /ip hc 2 (f 2 a 2 — h 2 c 2 tar -f- g 2 b 2 ar/c)
+ f 2 a (g 2 b 2 — f 2 a y + h 2 c 2 CTp) = 0,
ou enfin en multipliant par — av, et dans un terme — g-h-h 2 c 2 pLvpvrtc, au lieu de /avpTXK
écrivant —, l’équation devient
A,
(fa) 4 vp + (gb) 4 + (hc) 4 - (gb) 2 (hc) 2 0 + i)
- (hc) 2 (fa) 2 vp (w + /a) — (fa) 2 (gb) 2 (v+ p) = 0,
ou, comme on peut l’écrire,
[ vp ’ 1> ~(v + p)J ((fa) 2 , (gb) 2 , (hc) 2 ) 2 = 0.
C’est la deuxième d’un système de trois équations équivalentes; savoir, en multipliant
par — et en réduisant par Xfiv'srKp = 1, on obtient la première forme: et, en multipliant
par Xk et réduisant de même, on obtient la troisième forme : le système est
(>■
1
vp’
gvr,
— gxr (X + k),
1
iT
+
e)
-
1 ((fa) 2 , (gb) 2 ,
(hc) 2 ) 2 = 0,
( V P >
1,
1
Xk’
- (H) •
-vpip + Tv),
- (p + p)^
1 ( „
„ ) 2 = o,
(-Ï-,
V/A-ST
Xk,
1 ,
— (A + k) ,
il 1\
— l —'— ) ’
— A/c(y-fp)^
K » »
» ) 3 = 0.
En écrivant hc = — fa — gb, on obtient une équation de la forme ( *) (fa, gb) 4 = 0,
savoir une équation quartique pour avoir fa : gb, c’est-à-dire, le rapport anharmonique
(a — d) (b — c) : (b — d) (c — a) : en considérant a, b, c comme données, il y a donc 4
valeurs de d: et l’on a déjà vu que les valeurs a, /3. 7, S sont données rationnelle
ment en fonctions de a, b, c, d: le théorème est donc démontré.
Cambridge, juillet, 1880.