C. XIII.
OTIONS.
[896
897]
33
855), pp. 285—287, [135],
ues formules pour la trans-
15—24, [235], see No. iv. ;
ich connects the covariants
i, ce — d?\x, l) 4 ;
897.
SUR LES RACINES D’UNE ÉQUATION ALGÉBRIQUE.
[From the Comptes Rendus de l’Académie des Sciences de Paris, t. ex. (Janvier—
Juin, 1890), pp. 174—176, 215—218.]
Soit f(u) une fonction rationnelle et entière avec des coefficients réels ou
imaginaires, de l’ordre n\ en supposant que l’équation f'(u) = 0, de l’ordre n — 1, ait
n— 1 racines, je démontre que l’équation f(u) = 0 aura n racines. Pour cela, soit
f{u) = f(x + iy) = P + iQ: je suppose que c dénote une quantité positive donnée, et
je considère la surface c — z = P 2 + Q 2 , en attribuant à la coordonnée z des valeurs
positives ; c’est seulement pour avoir des maxima au lieu de minima, et pour faciliter
ainsi l’exposition, que je prends cette surface au lieu de z = P 2 + Q 2 . On peut donner
à c une valeur si grande que la courbe c — P 2 + Q 2 soit une courbe fermée qui ne
se coupe pas, c’est-à-dire un contour simple : cela étant, on peut se figurer ce
contour comme la ligne de rivage d’une île montagneuse ; la valeur de 0 est au
plus = c, et, en donnant à z une valeur plus petite, = b, on a le contour qui
correspond à l’altitude b : évidemment, les contours qui correspondent à des altitudes
différentes ne se coupent pas. Il s’agit de prouver que l’île a précisément n sommets,
chacun de l’altitude c.
J’écris
dP =
dx
donc
dQ _ _ y _ y
dJ~ ’ dy~ ’
et, de plus,
dX_ dX_dY_ dY__
dx ~ a> dy dx l ’ dy a:
dP
dy
dû
= Y;