DES FLUIDES AERIFORMES.
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aisément la place qu’ils occupent dans chaque suite , et l’on en
conclura la valeur du plus grave de tous , ou de tel autre de
l’ordre n que l’on voudra prendre pour point de compa
raison. Alors, dans tous les gaz, lorsqu’on sera parvenu à cet
ordre, la colonne vibrante se divisera en un même nombre
de parties dont la première, située vers l’embouchure, par
îicipera aux irrégularités de l’introduction du vent , et les
autres vibreront comme si elles étaient ébranlées à plein ori
fice. Ce sont ces dernières que l’expérience de Daniel Bernouilli
détermine lorsque le tuyau est ouvert, comme on l’a vu dans
la page 133. Supposons-le donc tel ; dans ce cas, la longueur
du demi-segment, situé vers l’orifice , étant, doublée , donnera
la longueur des ondes sonores correspondantes (page 124).
Nommons-la u , quand la colonne vibrante est formée d’air
atmosphérique ; soit T le temps d’une de leurs vibrations , et
représentons par a l’espace que le son parcourt dans cet air
en une seconde de temps. Nommons T et a , les quantités
analogues, quand la colonne est composée de tout autre gaz ,
vibrant de la même manière : on aura
pour l’air
pour le gaz
u~ a T
d’où
a! T' d’où — =
1
T
1"
T
— et — sont les nombres des vibrations que chacune des deux
colonnes exécute en une seconde de temps , et on peut les dé
duire de l’expression musicale des deux sons observés. Soit N
celui que rend la colonne d’air atmosphérique, N' celui que
rend la colonne gazeuse , ces valeurs seront proportionnelles à
1" 1" . .
—et — ; ainsi, en les divisant l’une par l’autre , on aura
N'
"Ñ"
T
N'
—-, et par suite — = —• ;
T' 1 N au!
N Y
N~
On pourra donc calculer a , en fonction de «, quand on aura
déterminé par expérience <*, N, «' et N'.