Full text: Traité De Physique Expérimentale Et Mathématique (Tome Second)

4g2 THEORIE de l’appareil électromoteur 
D'ailleurs leur nombre est de même égal à n. Ainsi leur somme 
sera 
n . (n 4- i ") et 
n x — . 
2 
Maintenant, pour avoir la quantité totale d’électricité vitrée 
libre, qui existe dans la colonne, il faut ajouter ensemble les 
deux sommes précédentes , ce qui donne 
2 nx — « a et. 
Le résultat doit être constamment nul, puisque la pile est isolée 
et n’a que sa quantité d’électricité naturelle. Par conséquent 
net 
2 n x ~ n* a z=z o, d’où x =— j 
2 
c’est la quantité d’électricité libre que possédera la pièce supé 
rieure, quand l’équilibre sera établi. Relativement à la pièce 
inférieure, la quantité d’électricité libre est x~~net\ en met 
tant pour x sa valeur , elle devient 
71 et 
X n et zz- —— -— , 
2 
et elle est la même que la précédente, au signe près. 
Généralement pour la m e pièce de zinc , en partant du 
sommet de la colonne, la quantité d’électricité libre est 
, V net 
x ~~~ [pi ) et ou xjn — i ) et. 
Celle d’une pièce de cuivre , également distante de l’autre 
extrémité de la colonne , serait 
net 
x — n et -j- \{in — 1 J .as , ou —- —- -f- (m — i) et. 
Elle est, au signe près, la même que la précédente. Par 
conséquent lorsque la pile est isolée, et qu’elle n’a que sa 
quantité d’électricité naturelle, les pièces qui sont à égale 
distance de ses extrémités, se trouvent également électrisées, 
î’une en plus , l’autre en moins. 
S’il y a une pièce de zinc qui soit dans l’état naturel, la 
quantité d’électricité y sera nulle, et son rang sera déterminé 
par l’équatioiî 
— — {rn — i) et = o , qui donne m = i -J .
	        
Waiting...

Note to user

Dear user,

In response to current developments in the web technology used by the Goobi viewer, the software no longer supports your browser.

Please use one of the following browsers to display this page correctly.

Thank you.