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parabole don J
■ e de h force
e « couche. J
mol écul e 1«. M
queUe elle est t
DE LA REFRACTION. $ig
que ses parois verticales offrent des surfaces diaphanes paral
lèles qui ne changent point la régularité ou la marche des rayons
lumineux. Puis concevons un point rayonnant situé en A sur une
des parois du vase, à une hauteur telle que les couches d’acide
qui y répondent ne soient pas encore sensiblement mêlées d’eau ;
alors ce point pourra envoyer à travers l’acide un rayon hori
zontal qui traversera directement l’épaisseur du vase, et qui
composé de
soit d abord ' |
ü aille en 1
' ) jusqu'à ce
ais moindre ^
milieu, si 1
furiquecon- T
eau pure, en S
1 ®î de plomb q
Cette eau, se ! j
pourra être reçu par un œil situé de l’autre côté en 0. Mais il
pourra arriver aussi en O un autre rayon qui, partant du
même point que le premier , se dirigera d’abord vers les couches
supérieures du milieu dans lesquelles l’eau est mêlée à l’acide
sulfurique. Car, rencontrant dans ces couches une puissance
réfringente successivement décroissante, l’attraction des couches
inférieures l’attirera sans cesse et le pliera vers elles ; et si l’incli
naison est convenablement choisie , cette attraction pourra aller
jusqu’à le courber entièrement, et l’obliger de se réfléchir
vers le bas, de manière à traverser de nouveau les mêmes
pe, et ayant iü
’avecloi; et
¿es les plus 1
acide. Mais, |
couches en sens contraire, et à redescendre vers le point 0 où
s’était dirigé le premier rayon. Cet effet ressemble absolument
à ce qui se passe au contact de deux milieux de force réfringente
diverse, si cen’est que, dans ce dernier cas, la réflexion intérieure
exercent sur 3
esanteurspé- '4
shes qui sont f|
iaison ne peut h
3 de lenteur, j
l'acide sul- r 1
s’opère dans un très-petit espace , et est rapidement déterminée
par la diminution que les forces attractives éprouvent à partir
de la surface commune , tandis que , dans le mélange d’eau et
d’acide, le décroissement des forces attractives est rendu très-
lent par les proportions graduelles de la combinaison. Mais il
en résulte également que l’on pourra du point 0, sous de cer
on trouve " j
uches supé-
icide. Voilà M
taines limites d’inclinaison , apercevoir deux images du point
rayonnant, l’une inférieure par une trajectoire directe , l’autre
supérieure par une trajectoire curviligne. Pour réaliser ces con
rogènes, de -
tuteur. Car
ntré excède
les couches
que ïeipé* '
¡mince, aSi
séquences , collez à l’une des parois du vase, un peu au-dessous
des couches qui se mêlent, une petite bande de papier horizon
tale , sur laquelle vous aurez tracé des lettres. Alors , en plaçant
votre œil de l’autre côté du vase à une hauteur à peu près égale ,
et cherchant à lire ces lettres, vous en verrez deux images dis
tinctes : l’une inférieure, qui sera droite ; l’autre supérieure, qui