5o6
ï>e l’achromatisme.
Substituant ces données dans nos formules , elles donnent
D t = 7Q° 51 ' 33" D 2 — io2° 29' 47" ;
b l ~ 4- 7 0 4°' 44" = 72 0 54' 18".
Ensuite, achevant le calcul des angles par logarithmes, on
trouve
1 cos <p= 1,4682837 1 cos <p 2 = 2,8626683— 1 cos (p 4 c= 4,3914378—
1 = 0,1964154 1 n v — 0,1964154 1 ?z 2 r= 0,1769821
1 COS^,= 1,2718683 1 COS <P 3 -= 1,0590837 1 cos <P 5 = 1,2144557—
<Pr=79° i3' 18" <p 3 -=z 96° 34'44" <p 5 ~ 99° 25' 5o"
l4° 57' 3o" -f-7° 40'44" tf 2 — — 24° 3o'o"
<p 2 = 94° 10' 48 r <P 4 = 104° 15' 28" <p 6 ~ rj4° 55' 5o"
Ces valeurs étant trouvées, on en tire
log sin = i,6i 77270 — log sin a t ~T,41 i8i58
log sin Ç, = ï ,9922714 log sin Ç4 — 1,9864123
log sin <p 3 = 1,9971 ¿07 log sin <p 6 — T,9848024
7,607 1291 —
I,383o3o5
x,383o3o5
Le rapport de compensation de ces deux prismes est donc
1,67532. On aurait opéré de la même manière, si û, se fût
trouvé négatif au lieu d’être positif ; seulement sa valeur serait
devenue soustractive. E11 général, en se servant de ces formules,
il n’y a aucun besoin des constructions géométriques pour
diriger le calcul ; le seul jeu des signes algébriques suffit.
Lorsqu’on emploie le procédé que nous venons de décrire ,
on trouve toujours plusieurs positions des deux prismes dans
lesquelles ils se compensent également bien. Pour en sentir la
raison , il faut se rappeler que lorsqu’un seul prisme réfracte un
rayon lumineux, la déviation est susceptible d’un minimum ,
pour lequel l’image réfractée devient stationnaire ; après