Full text: Traité De Physique Expérimentale Et Mathématique (Tome Quatrième)

MÏO.Y 
ET I)E FACILE RÉFLEXION. 
thématique, № 
-dire l’espace p& 
cet accès dure, Pt 
urface en I, fig, as 
d'an accès de iuta 
partir de ce pont 
tte molécule, tant! 
mi distances o,u 
res pairs; et tous 1« 
t distances interno 
es nombres impairs 
dans la surface,« 
is de facile transmu- 
tont autre point »■ 
ms ces cas sont p 
»rtion de ce premier 
entre dans le miliei 
n commencement è 
i commencement! 
estoni, lepre»' 
l’entrée même de i 
, n te,et l'on rete® 1 - 
ncerlefait‘ tlil# 
iTes q«i s’opèrent« 
iiieu, sous chaque 
nte ces alteri 
rps; 
libles d’être ain> 
ntlàdei 
ceso 
cessions ou alternatives bien distinctes ; et je puis d’avance 
annoncer que dans toute autre série de phénomènes qui suit 
des lois semblables, on n’en aperçoit jamais davantage. Mais 
l’analyse, et, si l’on peut ainsi parler , la dissection que nous 
avons faite du phénomène , nous a appris que cette limitation 
tenait uniquement à l’empiètement et à la superposition des 
anneaux de toutes couleurs formés par les divers rayons sim 
ples dont la lumière blanche se compose. Aussi avons-nous 
découvert un beaucoup plus grand nombre d’anneaux, quand 
nous les avons formés avec un faisceau de lumière simple ; et 
nous sommes encore parvenus au même but d’une manière plus 
facile sur les anneaux composés eux-mêmes, en les séparant 
par le prisme , en vertu de leur inégale réfrangibilité. Ces ob 
servations nous ont prouvé que les alternatives de réflexion et 
de transmission s’étendaient à des épaisseurs beaucoup plus 
grandes que nous ne l’avions soupçonné d’abord ; et par la ma 
nière dont les anneaux se serrent à mesure que l’épaisseur aug 
mente, nous devons bien juger qu’il s’en produit encore à des 
épaisseurs beaucoup plus grandes que celles auxquelles nous 
cessons, même avec le prisme, de pouvoir les distinguer. En 
effet, on verra bientôt, par d’autres expériences de Newton , 
que ces alternatives existent encore dans le verre à des épais 
seurs qui vont jusqu’à un quart de pouce. Or , comme de pa 
reilles épaisseurs surpassent plusieurs milliers de fois la dis 
tance à laquelle la variabilité des forces attractives ou répul 
sives des milieux sur la lumière peut être sensible, il en faut 
conclure que les alternatives de réflexion et de transmission, 
s’étant continuées jusque là, doivent se continuer indéfi 
niment. 
De là il devient évident que ces alternatives dépendent de 
quelque modification physique qui est imprimée aux molécules 
lumineuses dans leur passage à travers la première surface 
réfringente, et qu’elles emportent ensuite avec elles dans toute 
l’étendue du milieu qu’on leur fait parcourir. Car autrement, 
lorsque les molécules lumineuses parviendraient à la seconde 
surface de ce milieu, leur réflexion ©u leur transmission ne 
V
	        
Waiting...

Note to user

Dear user,

In response to current developments in the web technology used by the Goobi viewer, the software no longer supports your browser.

Please use one of the following browsers to display this page correctly.

Thank you.