aroi
iiere surface, soi-
n'en peuvent plu
lance où les mot
îrface, sous le rap-
é, lorsqu’elles n’a
icessairementl’exii-
i ont reçue,confo
e ces modifications
, une nécessité è
el ou tel intervalls,
n ou facilité à l'un
avons vu que des
dans l’air donnaient
it mouillées à leur
iulears, ma/s Aeaa-
omore de molécules
par cette seconde
jpulsive s est trou-
a milieu extérieur,
L \a seconde surfa«
de surfacedescorpi
y affaiblit également
:n dont la puissance
moins de la leur que
uu le précédent,l‘
,ère toujours sur le
¿quele corpspe«t
»t mince ou épars-
de, après avoir»
surface d'un autre
3 j ej lumineuses q«
Iécbir0> ! "f
««im
>ot des anneaux c«
ET DE FACILE REFLEXION. g3
près une égale quantité de molécules dans chacune de ces deux
dispositions. Aussi la réflexion s’opère-1-elle abondamment, si
la seconde surface de l’air est limitée par une lame d’eau
épaisse ; mais elle devient très-faible , et presque insensible, si
cette lame est tellement mince que son épaisseur n’excède pas
un millionième de pouce anglais. Car, d’après ce que nous
avons observé sur les bulles d’eau, une pareille lame ne réflé
chit point du tout de lumière à sa seconde surface, et n’en réflé
chit presque point à la première. Ainsi, dans ce cas, la dispo
sition que les molécules incidentes peuvent avoir à se réfléchir
en arrivant à cette première surface reste sans effet, et par
conséquent elle n’entraîne que la facilité, non la nécessité, de
la réflexion. Pour que celle-ci s’opère , ce n’est point assez que
la molécule lumineuse se trouve favorablement disposée à la
subir, il faut encore que la force réfléchissante ait une énergie
telle qu’elle puisse , dans cet état favorable delà molécule, dé
truire complètement sa vitesse , et lui faire x'ebrousser chemin
en sens contraire. De même, la tendance à la transmission cesse
d’être efficace, lorsque la force réfléchissante est assez éner
gique pour repousser même des particules qui en sont douées ;
et c’est ce qui arrive dans la réflexion très-oblique sur la plu
part des corps polis, particulièrement des métaux , puisqu’ils
réfléchissent alors plus de la moitié de la lumière incidente,
comme nous le prouverons dans la suite. On voit par ces exem
ples que Newton a très-fidèlement suivi les phénomènes, en
donnant aux accès des dénominations qui indiquassent, non
une nécessité de réflexion ou de transmission absolue , mais
une disposition conditionnelle , telle que l’indiquent les mots
mêmes d’accès de facile transmission et de facile réflexion.
Je dis de plus , que lorsqu’un rayon de lumière simple, na
turellement émané d’un corps lumineux , tombe directement ou
par réfraction sur un milieu réfringent, dans lequel il pénètre,
les molécules lumineuses transmises , qui, en traversant la
surface réfringente, sont toutes actuellement amenées à l’état
de facile transmission, ne possèdent pas toutes cet étal cl’une
manière également complète. En effet, si cette égalité avait
lieu, comme ensuite les accès de toutes les particules sont