wot
ET DE FACILE REFLEXION.
P'iisqa on suppoK
1 distance elles it.
3 exactement dels
!iP s parviendraient
Ians lequel elles se
ou se transmettre
far meme eneloi-
en réfléchit jamais
la nature du corps
nne (1). Puis dont
^nteinégale, étant
t d'un même corps,
ndante d’un même
il faut bien qu’une
¡es lumineuses qui
ions ; et puisque ce
rtàrtement borno
ns les dispositions
reflexion ou à la
que ces molécules
igueur, il faut de
îsqu’à la première
cipe, jusqu’à leur
liste, il faut con-
uses passent d un
e réflexion,quelle
est extrêmement
maniéré brusque
nnt peu à peu de
.¡•liant tout-adait.
épais, il se P r0(Itliî
rtB i colorés qui s»
,ons remarqué que
a de chaque anneau
et bientôt acquérant une disposition contraire, c’est-à-dire une
tendance à se réfléchir, laquelle , d’abord très-faible , croît peu
à peu jusqu’à un certain maximum , après quoi elle s’affaiblit
par les mêmes degrés. Or concevons qu’une infinité de molé
cules lumineuses, homogènes , émanées simultanément, ou
presque simultanément, d’un corps lumineux , se trouvent eu
partant de sa surface dans toutes les périodes diverses des deux
espèces d’accès , soit en vertu de l’acte même de l’émission ,
soit comme étant parties des divers points de la couche incan
descente infiniment mince, à travers laquelle le rayonnement
peut toujours s’opérer ; cela suffira pour produire sur toute la
route de ces molécules , les différences de disposition que l’ex
périence nous a fait connaître. En effet, lorsqu’elles arriveront
ensemble à la première surface d’un corps réflecteur, qui en
réfléchira une partie et réfractera le reste , la réflexion devra
sans doute s’opérer de préférence sur celles des molécules in
cidentes qui se trouveront les plus disposées à la subir. De
sorte, par exemple, qu’avec une force réfléchissante infiniment
énergique , toutes les molécules seraient réfléchies , quelle que
fût l’espèce d’accès où elles se trouvassent. Avec une force ré
fléchissante moindre, les molécules qui se trouvent dans un
accès de facile transmission , au moment de leur incidence ,
seront les premières à se transmettre ; et l’on peut concevoir
tel degré d’ériergie où elles seraient toutes transmises, tandis
que les molécules qui se trouveraient dans un accès de facile
réflexion, seraient toutes réfléchies, soit qu’elles se trouvas
sent au commencement, ou au milieu, ou vers l’extrémité de
cet accès. Enfin, avec une force réfléchissante plus faible en
core , celles qui se trouveront vers le commencement ou vers la
fin d’un tel accès, seront transmises, et celles-là seules qui
se trouvent dans une partie plus énergique de ce même accès,
seront réfléchies ; le nombre de ces dernières ira ainsi en dimi
nuant avec l’intensité de la force réfléchissante jusqu’aux der
niers degrés de cette force, où il n’y aura de réfléchies que
les seules particules, en infiniment petit nombre, qui se trou
veront précisément au milieu et dans le fort de leur accès.
Dans tous les cas, du moment où un certain nombre de mole-