Full text: Traité De Physique Expérimentale Et Mathématique (Tome Quatrième)

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offrir toutes les périodes imaginables, depuis le commencement 
jusqu’à la fin. Construisons donc , pour chacune d’elles , la 
série des accès suivans , tels qu’ils se continuent à partir de la 
surface réfringente SS, fig. 22, et examinons ce qui devra 
arriver lorsqu’une seconde surface se présentera successivement 
à diverses distances de la première. 
Pour commencer par un cas extrême, je supposerai d’abord 
que le milieu contigu à cette seconde surface soit tel que la ré 
flexion s’opère sur toutes les molécules lumineuses qui se pré 
sentent à elles dans une partie quelconque d’un accès de facile 
réflexion. Cette possibilité, comme on l’a vu plus haut, ne 
dépend que du rapport qui existe entre les forces réfringentes 
du corps et du milieu contigu. Alors si, dans notre construc 
tion , l’on fait mouvoir une ligne S' S' parallèlement à S S, 
pour représenter la limite de la seconde surface , il est évident 
que la réflexion ne sera jamais totalement nulle, quelque petite 
épaisseur que l’on donne au corps réfringent, à moins que cette 
épaisseur ne soit tout-à-fait nulle elle-même. Car du moment 
où la ligne S' S' s’écartera de S S, il y aura un certain nombre 
de molécules lumineuses qui seront en état d’être réfléchies. Ce 
nombre, d’abord fort petit, augmentera progressivement à 
mesure que S' S' s’éloignera de SS, jusqu’à ce qu’enfin cette 
ligne, étant arrivée en I t à une distance de la surface égale à 
la longueur i d’un accès, toute la lumière transmise se trou 
vera à l’état de facile réflexion, et par conséquent la réflexion 
sera totale. Mais cela n’aura lieu qu’à cette distance précise ; 
car du moment où S'S' s’éloignera davantage de S S , il y aura 
un certain nombre de particules qui passeront à l’état de facile 
transmission , et qui échapperont dès-lors aux forces réfléchis 
santes, puisque nous avons limité la possibilité de la réflexion 
à celles qui se trouvent dans une phase quelconque de l’état 
contraire. Ainsi la proportion de lumière réfléchie diminuera 
graduellement à mesure que S'S' s’éloignera de I,, et enfin elle 
deviendra nulle en I 2 , à une distance 2 i de la première sur 
face. Depuis ce terme, la réflexion commencera de nouveau à 
augmenter suivant les mêmes périodes ; elle sera totale en ï 3 , 
Томе IV. n
	        
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