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cliissantes , il se trouvera que les zones lumineuses trans
mises et réfléchies auront des largeurs égales , et seront sé
parées dans chaque série par des lignes noires infiniment
minces ; deux circonstances qui n’ont pas lieu dans les anneaux
colorés que nous pouvons produire avec les corps refringens
que nous offre la nature.
C’est que ces corps, eu égard aux milieux qui les envi
ronnent , n’ont pas une force répulsive aussi énergique que
nous venons de le supposer. Car, quelque proportion que
l’on donne à leur épaisseur, la réflexion à leur seconde sur
face n’est jamais totale, du moins sous l’incidence perpen
diculaire , la seule qui fait ici l’objet de nos considérations.
Par conséquent, lorsque cette seconde surface se trouve à
une des distances convenables pour produire la réflexion la
plus abondante, comme en I, I 3 I 5 . .. . auquel cas toute la
lumière transmise est dans une période de facile réflexion , il y
a encore un certain nombre de molécules lumineuses qui échap
pent aux forces réfléchissantes , malgré la disposition favo
rable où elles se trouvent ; d’où l’on voit que cette disposition
n’est efficace qu’au-delà d’un certain degré d’énergie. Par exem
ple, en supposant la totalité de la lumière incidente uniformé
ment répartie entre toutes les phases de l’accès , s’il y en a la
moitié qui échappe , ce sera une preuve que la réflexion ne
s’opère que sur les molécules qui ont subi plus du quart et
moins des trois quarts de leur accès ; s’il y en a le quart, les
i ni
limites de la réflexion seront - et ~ , et ainsi du reste. En gé-
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néral, si l’on désigne la première de ces limites par e, la seconde
seraf — e, puisqu’elles doivent toujours être également dis
tantes du milieu de l’accès. Cela posé , en appliquant à ces
nouvelles conditions la construction géométrique dont nous
avons fait tout-à-l’heure usage , il est évident que l’intensité de
la réflexion ne sera plus nulle seulement quand la seconde sur
face S'S' coïncidera avec la première SS, mais encore dans
tout l’intervalle d’épaisseur où elle en sera éloignée d’une quan
tité moindre que e. A cette épaisseur précise, une seule des