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cation que celle qui résulte d’une autre loi d’intensité dans les
proportions de la réflexion aux différentes périodes de chaque
anneau lucide.
Jusqu’ici nous avons supposé que la lumière, soit réflé
chie , soit réfractée, était composée d’une seule espèce de mo
lécules lumineuses •, maintenant, si l’on suppose qu’elle en con
tienne de nature diverse, chaque espèce de molécules se con
duira par des lois exactement pareilles , seulement les accès ne
seront pas pour toutes de la même longueur. Il ne nous reste
donc qu’à les définir. Tel est l’objet des propositions suivantes
établies par Newton.
Lorsque les molécules lumineuses qui forment les huit
limites des couleurs du spectre , après avoir traversé une même
surface réfringente , entrent dans un même milieu sous l’inci
dence perpendiculaire, ou en général sous une incidence com
mune, les intervalles des accès suivans, de facile transmission
et de facile réflexion, sont entre eux exactement, ou, à peu de
chose près , comme les racines cubiques des carrés des nombres
i, 11 \, f i \, 7 , ti , ^ , et les molécules lumineuses, dont la
nature est comprise entre ces limites , ont aussi leurs intervalles
d’accès compris entre les nombres ainsi calculés.
Ceci est la conséquence des rapports trouvés , page 53 , entre
les épaisseurs des lames qui réfléchissent ou qui transmettent
les diverses couleurs d’un même anneau , sous une commune
obliquité : en effet, soit, fig. 23 , IN' l’une de ces épaisseurs,
qui, sous l’inclinaison quelconque N'IR, transmette ou réflé
chisse à sa seconde surface l’anneau de l’ordre /, quand if
est formé par une espèce particulière de molécules lumineuses ,
par exemple, par le rouge extrême du spectre. Nommons c'
cette épaisseur, r l’angle de réfraction R IN' compté de la
normale, et i la longueur des accès obliques qu’éprouve alors
l’espèce des molécules lumineuses que nous considérons : nous
aurons en général
cos r
par conséquent
/ cos r"