Full text: Traité De Physique Expérimentale Et Mathématique (Tome Quatrième)

ET DE FACILE RÉFLEXION. 
TSSION 
îrse sont introduits 
èmemilieu,cosrie 
rvons toujours lii 
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«ations. Alors lesl» 
molécules lumi» 
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le nous considérons 
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iformément à lenoE 
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in milieu à un jufrei 
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i et de facile réfie® 
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dans l'autre, 
i observés précédé!- 
i réfléchissent ouf 
nce perpendiculM 
, de verre, com® 
5 en étendant «s» 
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ce prpenàffl^' 
ce et de réfraction 
Seat gommons (' 
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tons par («) et/Ii 
ET DE FACILE REFLEXION. J07 
rapports conslans de l'éfraction, lorsque la lumière passe du 
vide dans l’air et dans le milieu donné. D’après l’expérience 
que je viens de rappeler, nous aurons 
e _ (5>_(f) 
n 
Pour un second milieu qui transmettrait ou qui réfléchirait 
perpendiculairement le même ordre d’anneaux à l’épaisseur e', 
s’il était de même environné d’air , on aurait pareillement 
(*) O) 
Maintenant nommons i Ï les longueurs des accès des molé 
cules lumineuses dans ces deux milieux-là ; puisque leur nombre 
est le même et est égal à », on devra avoir 
v , * « n> 
tiz=ze vl zzzi e , d ou — = — = —. 
Ce qui est précisément l’énoncé de Newton. 
Supposons que le second milieu soit le vide. Dans ce cas, n 
sera 1, et i' deviendra égal à la longueur des accès qu’aurait 
dans le vide l’espèce de lumière simple que l’on considère. 
Nommons celte longueur (1) ; alors, pour tout autre milieu 
quelconque , la longueur des accès des mêmes molécules sera 
Cette expression fort simple montre que, pour chaque espèce 
de molécules lumineuses , la longueur des accès sous Vincidence 
perpendiculaire est toujours la même dans le même milieu, 
quels que soient les coi-ps que la lumière ait traversés avant d’y 
parvenir. Si l’on prend pour i la longueur des accès dans l’air, 
il faudra mettre pour n le rapport du sinus d’incidence au sinus 
de réfraction, pour les rayons qui passent du vide dans l’air; 
rapport qu’une de nos expériences nous a donné égal à -|y|- 
Celte quantité est si peu différente de l’unité, que son in 
fluence sur la valeur de i sera tout-à-fait insensible dans toutes 
les expériences que l’on pourra faire; de sorte que les longueurs 
des accès dans le vide devraient paraître les mêmes que dans
	        
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