Full text: Traité De Physique Expérimentale Et Mathématique (Tome Quatrième)

urssiox 
ET 1)E FACILE REFLEXION. n5 
:ion de e à t, do* 
d'air et d’eau. Mais 
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CHAPITRE Y. 
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strie d’observations 
utiles sur des 1»® 
avant et après ia rt- 
*t*v?*. 
a \ a proposition » 
Application de la Theorie précédente a la réflexion 
des râpons de lumière qui ont traversé des milieux 
épais. 
Lus accès des molécules lumineuses étant complètement dé 
finis par ce qui précède, et toutes leurs propriétés, à l’excep 
tion de la dernière , étant uniquement établies d’après des ex 
périences faites sur des lames minces, l’épreuve la plus sûre , 
et en même temps la plus utile que nous puissions leur faire 
subir , c’est de développer par le raisonnement les consé 
quences qui en résultent pour la réflexion et la réfraction de la 
lumière à la seconde surface des corps épais, et de voir si les 
conséquences sont conformes aux observations. 
Afin de prendre ces phénomènes dans leur source, consi 
dérons d’abord un corps lumineux placé dans un milieu indé 
fini , tel que l’air, et suivant par la pensée les diverses molécules 
lumineuses qui en émanent, voyons quelle doit être, à toute 
distance, leur tendance à la réflexion ou à la réfraction. Pour 
quelque esp« ce( p ,tl,: 
Ju corps où e ® ei 
, ou irrégulière^ 
ouveaux accès àp aI ' 
or5 de ces accesse 
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résoudre ce problème, il faut qu’on donne la nature du milieu, 
celle des particules lumineuses émises, le sens de leur introduc 
tion, et l’état initial de chacune d’elles à l’instant où elle échappe à 
l’actionducorpsrayonnant. Avec les deux premières données, on 
calculera la longueur des accès de chaque particule, et ajoutant 
bout à bout cette longueur à elle-même , en partant de la posi 
tion et de l’état primitif, on connaîtra tous les retours suivans 
du même état, ou de l’état opposé. Alors, si l’on place en quelque 
point que ce soit une surface dont la force réfléchissante soit 
donnée , eu égard au milieu qui l’environne, on pourra , d’après 
l’état de chaque molécule lumineuse, prononcer si elle cédei’a 
ou ne cédera pas à la réflexion. Ce seront là les modifications 
propres à chaque molécule. Si l’on veut ensuite prévoir les
	        
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