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CHAPITRE VII.
Du, retour des Rayons réfléchis parles plaques afaces
planes et parallèles.
Xjorsqu’uïî rayon de lumière, après avoir pénétré oblique
ment dans une plaque à faces parallèles, d’une épaisseur quel
conque , est réfléchi régulièrement à sa seconde surface, et
retourne pour sortir de nouveau par la première , l’égalité de
son trajet dans la plaque, avant et après la réflexion, donne
lieu à certaines conditions qui déterminent la possibilité ou
l’impossibilité de son émergence. Nous allons d’abord établir
ces conditions d’une manière abstraite, d’après les caractères
que Newton a attribués aux accès ; ensuite nous examinerons
les expériences qui les confirment. Par-là, les effets de la ré
flexion sur les accès, se trouveront constatés conformément aux
définitions de Newton, et en les appliquant aux plaques minces
presque parallèles, où les anneaux coloi’és se forment, nous
pourrons nettement démêler ce qui s’y passe avant ou après la
réflexion intérieure par laquelle ils sont produits.
Soit,fig. 25, AB A'B' la plaque proposée, environnée d’air,
ou de vide, ou de tout autre milieu quelconque. Concevons
qu’une molécule lumineuse , ayant traversé en S la première
surface, arrive à la seconde en R , s’y réfléchisse, et revienne à
la première en S\ Soit V la longueur de ses accès, suivant la
direction que la réfraction lui imprime ; et , pour fixer les
idées, admettons qu’à son entrée dans la plaque , elle se trouve
amenée au commencement d’un accès de facile transmission.
Alors, pour connaître l’état dans lequel elle sera en arrivant
en R sur la seconde surface , il n’y aura qu’à porter la lon
gueur i' de S en R, autant de fois qu’elle s’y trouvera com
prise. Si ce nombre de fois est pair, avec un reste, quelque
petit qu’il puisse être , la molécule , en arrivant en R , sera dans