Full text: Traité De Physique Expérimentale Et Mathématique (Tome Quatrième)

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Si l’on voulait restituer l’étamage, il faudrait prendre pour n 
le rapport du sinus d’incidence au sinus de réfraction, lors 
que la lumière passe de l’étamage dans la plaque de verre. Ce 
rapport serait vraisemblablement moindre que l’unité, le métal 
réfractant pl u s que le verre ; et, en conséquence, il serait fort 
différent de —, que nous adoptons ici, en supposant la plaque 
environnée d’air. Mais , dans le cas actuel , l’influence de cette 
différence sur les résultats serait tout-à-fait insensible , à cause 
de la petitesse des angles r, auxquels les observations s’étendent ; 
car la valeur de n étant divisée par 106 , qui est un nombre 
considérable , le produit de 7-^7 n par sin r deviendra insensible 
si l’angle r est fort petit : de sorte que l’on pourrait, dans tous 
les calculs , prendre u égal à r. Toutefois , pour nous con 
former à la marche que Newton a suivie , nous conserve 
rons à n la valeur ^ dans ’expression de u ; mais on voit , par 
cette remarque, qu’on pourrait se dispenser d’y avoir égard j 
et cela explique pourquoi, lorsque Newton ôta l’étainage de la 
seconde surface , l’intensité seule des anneaux lui parut chan 
gée , et non pas leur dimension ou leur teinte. 
Maintenant si, dans la valeur de e x , nous mettons pour i' sa 
valeur en i, il viendra 
e x cos r cos u r= (v — 2 x) i, ou e x cos r cos u e — 2 i x. 
Du point d’émergence I', menons l’ordonnée F P' perpendi 
culaire à l’axe du miroir , et nommons z le sinus verse I P', 
lequel, dans les expériences de Newton , a toujours été d’une 
petitesse extrême ; alors l'angle I'R I étant r, e x eos r sera 
égal à RP' ou e -f- z. Substituant cefle valeur dans l’équation 
précédente , et remplaçant cos u par 1 — 2 sin a | m, il reste 
2 e sin 2 | u — z cos u — 2 i x. 
Le miroir employé par Newton dans ces expériences , avait 
un quart de pouce d’épaisseur, et il n’y put observer que cinq
	        
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