ÉCHIS
lite des siatsà
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PAR DES PLAQUES EPAISSES. j jq
*72 pouces de longueur. Supposons la distance C o égale à 2pouc.
et cherchons à quelle distance de l’axe C Rparaîtront les quatre
premiers ordres d’anneaux formés par l’espèce de lumière
simple, intermédiaire entre l’orangé et le jaune. D’après nos
précédens calculs, ces quatre anneaux partent de la seconde
première forai
i aura e, Celait»
incident Cffif
d'un ordre te
> possible, lots?
surface du miroir sous des angles r, qui ont pour valeur
26' 7", 36'5 7 ", 45'16", 52' 16".
En multipliant les sinus de ces angles par le rapport de réfrac
tion n, qui est ici égal à , on aura les sinus des angles d’émer
gence i, qui leur correspondent, et de là on tire pour i ces
quatre valeurs :
40'23", 57'7", 1°9' 5 7 ", i°2o'45".
u’alors ce prodi
Substituant celles-ci dans la formule (i) , elle donne
P 4. i devient t
lisse adraettre,*
il à i ; ce quidom
i
t> -f- i. . . .25° i', 36° 43'40", 47° 6'10", 57° 45'10";
et par suite
c ... . 24° 20' 37", 35° 46' 33", 45° 56' i3", 56° 24' 25";
La première ligne exprime les angles que doivent former avec
l’axe CR les rayons visuels menés de l’œil aux quatre premiers
St droit, P#
ordres d’anneaux formés par la couleur limite du jaune et de
l’orangé ; la seconde ligne, renfermant les valeurs de r, indique
éral,lorsque T»
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les angles que doivent former avec l’axe C R les rayons incidens
Cir d’où ces anneaux résultent. On voit quelle grande étendue il
faudrait donner à la plaque de verre, pour qu’ils pussent se
réaliser tous les quatre sur sa surface. Cela tient au peu de
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distance de l'œil au centre de courbure. Si l’on faisait cette
distance de 4 pouces, en mettant toujours l’œil sur l'axe CR,
on trouverait
V -f- i. . . . 12° 12' 20", 17°23'5o", 21° 10j 0", 25° 1' 0";
et par suite
^ h°3i'5 7 ", i6° 26'43", 2o° 19' 3", 23° 40' i5".
Ceci nous montre que les anneaux se rétrécissent et se serrent
à mesure que l’œil se rapproche du miroir. Néanmoins ces
angles, ainsi réduits, supposeraient encore une plaque d’une
étendue bien considérable , et la grandeur de leurs variations ,
en passant d’un anneau à un autre , montre que les zones colo
rées, vues de cette manière , doivent avoir, en général, une très-