Full text: Traité De Physique Expérimentale Et Mathématique (Tome Quatrième)

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Tant que la couche laiteuse est encore liquide, l’irrégularité 
de sa surface brisant et dispersant la lumière , empêche que 
Гоп ne voie aucun anneau ; mais ils paraissent aussitôt que 
cette couche, en se desséchant, est devenue d’une épaisseur 
uniforme, et alors rien n’altère leur parfaite circularité. Mais 
en même temps on remarque que le carton sur lequel ils tom 
bent se trouve beaucoup plus éclairé qu’il ne l’était avant 
que la première surface fût ternie. Cela donne donc lieu de 
penser que le ternissement agit en diminuant l’intensité des 
forces réfléchissantes que la première surface exerce, tant sur 
la lumière qui se présente pour entrer dans le miroir, que sur 
celle qui se présente pour en sortir. Je n’oserais cependant pas 
affirmer que ее fut là l’unique cause de la différence, tant elle 
est sensible. Il ne serait pas impossible que les molécules lumi 
neuses , en pénétrant une surface terne, acquissent quelques 
modifications physiques qui les rendissent ensuite plus propres 
à subir la réflexion irrégulière ; alors la proportion de lumière 
réfléchie irrégulièrement à la seconde surface du miroir terni, 
deviendrait plus grande par deux causes, par la diminution de 
la réflexion régulière à la première surface , et par l’augmenta 
tion de la réflexion irrégulière sur la seconde. C’est un point, 
qui mérite d’être examiné , quoiqu’il n’importe pas à la théorie 
qui nous occupe. Je me propose aussi de chercher si un léger 
dépoli, tel qu’on le donne aux verres avant d’atteindre le poli 
parfait , ne pourrait pas agir comme la couche laiteuse. 
Désirant vérifier et compléter les observations du duc de 
Chaulnes , j’ai introduit dans une chambre obscure un trait 
Conique de lumière solaire réfléchi par un héliostat, à travers 
un trou circulaire, dont le diamètre variait depuis deux jusqu’à 
cinq millimètres. J’ai présenté successivement à ce faisceau des 
verresdedifférentesformes, et j’ai étudié leurs effets : MM. Pouil- 
let et Deflers, avec leur zèle ordinaire, m’ont assisté dans ces 
opérations. 
J’ai d’abord pris un verre plan convexe de 6 pouces de 
rayon. Ayant terni sa surface convexe, on l’a présentée au 
trait solaire, en la plaçant à u pouces du trou, conformé-
	        
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