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PAR DES PLAQUES EPAISSES. 207
çrui se dissémine de toute part en partant du point d’inci
dence R, comme d’un centre de rayonnement. Or, celle-ci ne
formant jamais qu’une portion très-petite de la lumière inci
dente , il s’ensuit que les forces qui la réfléchissent sont toujours
très-faibles, même à la surface des métaux polis. Conséquem
ment les molécules lumineuses qui reviendront ainsi du point R
suivant une direction quelconque , seront, par cela même , à
leur départ de ce point, au milieu ou presque au milieu d’un
accès de facile réflexion. D’après cela , dans tout le trajet quelles
ont à faire depuis le point R jusqu’à la surface 1/1/ de la lame
qui s’offre la première à leur rencontre, nous pouvons leur
appliquer tout ce que nous avons dit sur les effets de la ré
flexion par la seconde surface des plaques épaisses, avec celte
seule différence qu’ici l’épaisseur RI', comprise entre le point
de réflexion et la surface L'L', sera d’air au lieu d’être de verre.
Ainsi les molécules qui retourneront vers cette surface , suivant
leur direction primitive d’incidence RI', seront encore , en y
arrivant, dans un état de facile transmission ou au moins assez
près d’un pareil état pour pouvoir être transmises ; et cela
aura lieu aussi pour les molécules réfléchies hors de celte di
rection jusqu’à une certaine distance fort petite; après quoi
l’état des molécules, à leur arrivée sur la surface 1/1/, étant trop
différent de celui où elles se trouvent en 1', elles ne pénétreront
point la lame, mais seront réfléchies vers le miroir; et ainsi
de suite alternativement chaque espèce de molécule sera réflé
chie ou transmise à diverses distances de l’axe RF, ce qui
formera, dans F intérieur de la lame, des anneaux colorés ayant
leur centre sur cet axe. Nommons r l’angle de réflexion qui
détermine ainsi la sortie du n e anneau d’une certaine espèce de
couleur simple. Le diamètre de cet anneau sur la surface I/L',
sera ne tang r, e désignant la distance RI , à quoi l’ou peut
substituer ne sinr, en remplaçant la tangente du petit angle r
par son sinus. Mettant donc, au lieu de sinr, sa valeur trouvée
précédemment pour une plaque quelconque , en fonction du
nombre x des accès perdus par les molécules lumineuses que
l’on considère, et supposant le rayon de courbure de la surface