coefficient k ou
PAR PRS PLAQUES EPAISSES.
i o5 -f- n
217
106
, dans lequel n représente le rapport
du sinus d’incidence au sinus de réfraction, pour les rayons
qui sortent du métal du miroir pour revenir dans l’air. Mais
quoique ce l’apport doive être certainement plus grand que 1,
et probablement même s’élever à plusieurs unités, à cause de
la grande densité du métal, néanmoins comme n— 1 se trouvera
divisé par 106, on voit que k devra encore différer très-peu
de 1, comme dans nos précédentes expériences. Nous le suppo
serons donc d’abord égal à i , et l’on pourra ensuite essayer de
déduire sa valeur exacte des observations, si l’on s’aperçoit
qu’elle y ait une influence sensible.
Nous savons de plus que la distance e a dû être, dans
notre première expérience, 4 mm » dans la seconde, 9 mm . Mais
comme nous avons reconnu plus liaut que la première supposi
tion était un peu trop faible, j’y ai ajouté \ millimètre pour tenir
compte du défaut présumé de contact qui produit ici un effet
beaucoup plus sensible qu’il ne ferait dans la seconde expérience.
Cela porte donc cette distance à 4 mm ,5. Quant à la distance a
du trou au centre du miroir, elle a toujours été constante et
égale à 1006. Il ne reste plus qu’à introduire ces nombres dans
la formule en donnant à x les valeurs successives 1 , 2, 3,4 5 5,
qui conviennent aux différens anneaux lucides. On trouve ainsi
les résultats suivans, que j’ai rapprochés des observations.
i re Expérience.
e — 41^5.
2 e Expérience. B
e — y« 1 ™.
Calculé.
Observé.
Calculé.
Observé.
Diam. du i er ann.lucide.
24,08
24
17,02
2 e
34,o5
34
24,o8
24
3 e
407 1
42
29,25
4 e • ••
48,16
43,5
33,98
33,8
5 e
53,84
54
38,07
37,5
6 e
58,98
5 9
41,71
non observé