DE LA LUMIÈRE.
LE LA LUMIERE. 2 55
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Avant d’entrer dans les conséquences de cette remarquable
expérience, je vais donner quelques détails sur la manière de
la faire commodément et avec exactitude.
On peut imaginer bien des appareils propres à atteindre ce
but. Celui que j’ai coutume d’employer est réprésenté dans la
fi g. 2. Il est très-simple, et suffit à toutes les expériences de
la polarisation. Il est composé d’un tuyau T T' aux deux bouts
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duquel on ajuste deux tambours qui peuvent y tourner à
frottement ferme. Chacun d’eux porte une division circulaire
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qui marque les degrés. De deux points opposés de leur circon
férence partent deux branches de cuivre TV, T'Y', parallèles à
l’axe du tuyau , et entre lesquelles est suspendu un anneau de
cuivre AA, qui peut tourner autour d’un axe XX perpendi
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culaire à la direction commune des deux branches. Le mouve
ment de cet anneau est également mesuré par une division
circulaire, et on peut l’arrêter par des vis de pression. Lors
qu’on veut exposer une lame quelconque aux rayons lumineux,
on l’applique sur la surface de l’anneau, et on l’y fixe ; ensuite
on peut lui donner toutes les situations imaginables relative
ment au rayon lumineux qui passe par l’axe du tuyau; car le
tambour, en tournant circulairement autour du tuyau, amène
le plan de réflexion dans tous les azimuts possibles ; et le
mouvement de l’anneau autour de son axe XX lui permet de
présenter la lame au rayon incident sous toutes les inclinaisons.
La division qui règle ce mouvement doit marquer zéro quand le
plan de l’anneau est perpendiculaire à l’axe de la lunette, et
les divisions des tambours doivent avoir leur zéro sur une
même ligne droite parallèle à l’axe du tuyau. Il faudra donc,
avant d’employer l’appareil, s’assurer que ces conditions sont
satisfaites.
Si l’on veut, par exemple, répéter l’expérience de Malus, que
nous avons rapportée tout-à-l’heure, on placera une glace sur
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chaque anneau , et on les disposera de manière qu’elles fassent
chacune un angle de 35° 25' avec l’axe du tuyau. Puis on
amènera la division d’un des tambours sur zéro, et l’autre