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DE LA LUMIÈRE. 2 5j
tement blanc et brillant, sur lequel on pourra faire toutes les
expériences. Cette blancheur parfaite est un grand avantage;
elle est même indispensable dans un grand nombre de cas où
il faut observer et comparer des teintes diverses : on ne peut
jamais y réussir aussi bien en se servant de la flamme d’une
bougie ou de toute autre substance embrasée, aucune de ces
flammes n’étant blanche. Enfin il faut, en général, modérer la
vivacité du rayon incident, de manière que la portion irrégu-
lièrement réfléchie sur les deux glaces ne soit pas sensible. Car
cette portion se trouvant, après la réflexion , à l’état de lu
mière rayonnante , ne peut pas être polarisée ; l’autre portion,
qui a été réfléchie régulièrement, est la seule qui subit la po
larisation , et, par conséquent, elle seule échappe à la réflexion
sur la seconde glace.
Au reste , quel que soit l’appareil que l’on adopte , le procédé
sera toujours le même, et l’on observera les mêmes phénomènes
de réflexion sur la seconde glace. Pour les exposer d’une manière
méthodique qui permette d’en saisir facilement l’ensemble, je
supposerai que le plan d’incidence SIL du rayon sur la première
glace coïncide avec le plan du méridien , et que le rayon ré
fléchi II' est vertical. Alors si l’on fait tourner le tambour T'T'
qui porte la seconde glace, cette glace tournera aussi autour du
rayon réfléchi, en formant toujours avec lui le même angle ; et
le plan dans lequel s’opère la seconde réflexion se trouvera né
cessairement dirigé vers les divers points de l’horizon, dans les
différens azimuts. Cela posé, voici les phénomènes que l’on
observera.
Lorsque le second plan de réflexion est dirigé dans le méri
dien, et par conséquent coïncide avec le premier , l’intensité de
la lumière réfléchie par la seconde glace est à son maximum.
A mesure que le second plan en tournant s’éloigne d’être
parallèle au premier , l’intensité de la lumière réfléchie diminue.
Enfin , lorsque le second plan de réflexion est dirigé dans le
vertical d’est et ouest, par conséquent perpendiculaire au pre
mier , l’intensité de la lumière réfléchie est absolument nulle sur
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