Full text: Traité De Physique Expérimentale Et Mathématique (Tome Quatrième)

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Au contraire ,'quand i~ go°, on a cosz = o et F Q —o; c’est-à- 
dire, que l’intensité de la lumière réfléchie est nulle. A u-delà de 
ce terme, quand i devient go -f- i\ cos 2 idevient égal a sinV ; et 
à distance égale avant cette limite, quand on avait i~go — i 
cos a i' était encore égal à sin 2 /. Les variations d’intensité sont 
donc symétriques autour du vertical d’est et ouest. Il est facile 
de voir de la même manière qu’elles sont pareillement symé 
triques autour de chacun des autres points cardinaux. En con 
tinuant à faire croître r,l’intensité atteint un second maximum 
quand i — i8o°, ce qui donne encore cos 2 i— i, et elle devient 
de nouveau nulle quand i~ 270”, ce qui donne encore cos 2 /r=o. 
Ainsi cette formule satisfait aux dégradations observées dans 
l’intensité, et à leurs diverses limites. Il est vrai que beau 
coup d’autres pourraient remplir les mêmes conditions ; car 
on y satisferait encore en supposant, par exemple, l’intensité 
proportionnelle à eos^z, à cos 6 z, ou à toute autre puissance 
paire de ce cosinus, ou même, à une combinaison quelconque de 
ces puissances. Pour décider entre toutes ces formules, il 11e suffit 
plus de considérer les quatre limites dont nous avons princi 
palement fait usage, il faudrait mesurer exactement les inten 
sités intermédiaires, et voir par quelle formule elles seraient le 
mieux représentées ; mais de pareilles mesures sont très-difficiles 
à obtenir, et je ne sache pas que personne les ait jusqu’à pré 
sent exécutées. Nous nous bornerons donc, comme l’a fait 
Malus , à la première formule , qui est la plus simple ; et la suite 
des expériences, en multipliant ses applications, nous donnera 
les moyens de l’apprécier. 
Les résultats de cette belle observation étant ainsi rassemblés 
sous un seul aspect, nous en tirons cette conséquence générale, 
que le rayon réfléchi par la première glace n’est point réfléchi 
par la seconde, sous cette incidence, quand il se présente à elle 
par ses pans est et ouest ; mais qu’il l’est, au moins en partie , 
quand il se présente à elle par deux autres quelconques de 
ses pans opposés. Or, en considérant le rayon comme la suc 
cession infiniment rapide d’une série de molécules lumineuses, 
ses pans ne sont que la suite des pans des molécules. Il faut
	        
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