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261
oes extrémités B B' était taillée en biseau sous un angle de
32° 54'. Il fit tomber un rayon SI sur la première surface de cette
masse sous une inclinaison SIA de 35° 25'; il obtint un pre
mier rayon réfléchi IO qui était complètement polarisé ; le reste
de la lumière incidente pénétrant la substance du verre, et s’y
réfractant suivant II' rencontra la seconde surface sous une in
clinaison II'A', qui devait être de 57° 6', en supposant le rap
port de réfraction i,5. Là , une partie du rayon s’étant réfléchie
de nouveau , suivant I' I" , vint sortir par la face latérale B B',
qui, d’après l’inclinaison qu’on lui avait donnée , dut le rece
voir sous l’incidence perpendiculaire , et par conséquent ne put
porter aucune atteinte aux modifications que la réflexion en l'lui
avait imprimées. Or, en analysant le rayon émergent I" O", au
moyen d’une seconde glace inclinée de 35° 25 / , sur sa direction
d’émergence , Malus trouva qu’il était complètement polarisé
dans le plan de la seconde réflexion qu’il avait subie. Il conclut de
là que la polarisation qui s’opérait sous l’angle SIA à la pre
mière surface avait lieu à la seconde sous l’angle II'A'. Main
tenant, si par les points d’incidence I, I', on mène des per
pendiculaires IN, l'N' aux deux surfaces, l’angle d’incidence
II'N' du rayon sur la seconde, étant compté de la perpendi
culaire, sera égal à l’angle de réfraction l'IN : ainsi, en nom
mant i et r les angles d’incidence auxquels s’opère la pola
risation sur les deux surfaces, et désignant par n le rapport
constant du sinus d’incidence au sinus de réfraction , on aura
sin i ■=. n sin r,
comme Malus l’a observé. On peut aussi, à l’aide du même
appareil, étudier les effets de la seconde réflexion sur les rayons
déjà polarisés. Pour cela , il faut présenter au rayon émergent
I" O" une autre masse de verre CDE, taillée en prisme isocèle,
dont les angles à la base C , E soient de 32° 54'. Plaçant alors la
première face CD perpendiculairement au rayon, il parvien
dra à la seconde surface sans aucune altération quelconque,
précisément sous l’incidence où elle le polariserait, s’il ne
l’était déjà ; et la réflexion le renverra perpendiculairement à la
seconde face DE. On pourra donc l’observer après son émer
gence, et. suivre toutes les phases de la réflexion en faisant lour-