Full text: Traité De Physique Expérimentale Et Mathématique (Tome Quatrième)

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¡s les périodes de 
t tormules 
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pénétrant dans > 
DE LA LUMIÈRE. 2 65 
second cristal, il se divisera en général en deux autres, l’un 
Feo 5 soumis à la réfraction ordinaire du second cristal ; l’autre 
F ee , soumis à la réfraction extraordinaire. Le premier sera nul 
quand i sera nul ; alors F ec sera à son maximum, et se trou 
vera égal à F e . A mesure que i augmentera, F £0 ira en crois 
sant , et F ee diminuera de la même quantité : enfin , lorsque les 
sections principales seront perpendiculaires, F eo se trouvera à 
son maximum et égal à F e , tandis que F ee sera nul. On voit 
donc que les variations de F eo sont les mêmes que celles de 
F oe , et celles de F ee les mêmes que celles de F 00 : on pourra 
donc les représenter de la même manière , et alors on aura 
F e0 — F e sin 2 i F cc = F e cos 2 i. 
Mais nous avons dit que dans le premier cristal l’intensité du 
rayon F 0 était sensiblement égale à celle du rayon F e , au moins 
sous l’incidence perpendiculaire. Ainsi, en représentant par 2 Q 
l’intensité totale de la lumière qui traverse le second cristal, F 0 
et F e seront chacun égaux à Q, ce qui donnera pour nos quatre 
rayons émergens du second cristal les valeurs suivantes : 
F 00 = Q cos 2 i F oe = Q sin 2 i 
Fee = Q COS 2 i Feo = Q sin 2 *"• 
Nous avons fait abstraction de la lumière perdue par la ré 
flexion partielle qui s’opère nécessairement aux quatre surfaces 
des deux rhomboïbes. Si l’on veut corriger l’effet de cette sup 
position , il n’y a qu’à considérer Q comme représentant non pas 
la lumière incidente , mais la quantité totale de lumière émer 
gente après toutes les réflexions. Au reste, nous devons remar 
quer que ces formules sont seulement appropriées aux limites 
des phénomènes ; que beaucoup d’autres pourraient y satisfaire 
également , mais qu’on peut les adopter comme les plus simples 
jusqu’à ce que des expériences directes aient fourni des mesures 
précises des intensités pour les positions intermédiaires entre le 
maximum et le minimum. Malus a donné pareillement des for 
mules empiriques pour représenter les intensités des rayons 
ordinaires et extraordinaires, lorsque les rayons ineidens ne 
sont pas perpendiculaires aux surfaces des rhomboïdes ; mais 
comme ces formules; quoique très-ingénieuses, sont unique
	        
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