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DE LA LUMIÈRE. 2 85
Après avoir fixé les caractères généraux de la polarisation ,
déterminons les angles sous lesquels les diverses substances
impriment cette modification à la lumière qu’elles réfléchissent,
et voyons si l’on y découvre quelque analogie avec leur pou
voir réfringent.
On peut obtenir ces angles d’une manière fort simple pour
tous les corps solides, quelque petits qu’ils puissent être, aa
moyen du goniomètre de M. Wollaston, que nous avons décrit
tome III, page 164. La seule addition qu’il faille y faire con
siste à appliquer sur le’plan du cercle de cuivre une des faces
d’un prisme rectangulaire de verre, que l’on y fait adhérer
solidement au moyen de quelque lut. Alors l’autre face du
prisme devient perpendiculaire à ce plan , fig. 9. On pose
l’instrument sur un support horizontal immobile , par exem
ple , sur le chambranle d’une cheminée, et on l’y fixe de
même avec un lut solide. Cela rend le limbe vertical. On
place sur son prolongement deux bougies allumées, l’une
plus élevée, l’autre plus basse ; et toutes deux assez éloignées
pour que les dimensions du prisme et des pièces mobiles de
l’axe soient très-petites comparativement à leur distance. Puis ,
faisant tourner le limbe avec le prisme qu’il porte , on tâche
de faire coïncider l’image réfléchie d’une des bougies avec
l’image directe de l’autre. Cela doit être possible , si la sur
face du prisme a été exactement appliquée contre le limbe.
Mais, comme on peut n’avoir pas du premier coup placé
tout-à-fait les bougies comme elles doivent l’être, on fera
mouvoir l’une d’elles jusqu’à ce que cette condition soit rem
plie. Cette coïncidence étant obtenue, on applique sur l’axe
central mobile , avec de la cire molle , et tout auprès du prisme ,
le corps dont on veut étudier la polarisation, et l’on tourne
les pièces qui le portent jusqu’à ce que la coïncidence des deux
images ait lieu aussi sur sa surface , comme sur le prisme fixe.
Alors la surface de la substance est, comme celle du prisme ,
perpendiculaire au limbe. Pour s’en assurer davantage , on fait
tourner le limbe d’une certaine quantité , de 90°, par exemple,
et l’on essaie de rétablir la coïncidence des images sur la
substance par le seul mouvement de l’axe mobile ; cela doit