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de nouveau
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DE LA LUMIÈRE. 3 g^
rhomboïdal, n’est pas fixée à une valeur mathématique de
l’inclinaison ; elle a lieu encore dans une petite étendue avant
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le reste de 1W
et après, avec une perfection à peu près égale, du moins en
employant le degré de lumière que j’ai supposé. Il faut donc
que les observations comparées , faites sur chaque bougie ,
s’accordent aussi entre elles dans les limites d’écarts que ce genre
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d’expériences comporte , et l’on prendra la moyenne des deux
résultats.
M. Arago emploie un moyen analogue. Il commence par
marquer sur les murs d’une grande salle des divisions verti
cales qui, vues d’un centre assigné, répondent à des intervalles
d’un degré ou au-dessous. Cela se fait en plaçant à ce centre
un cercle répétiteur horizontal, dont on dirige successivement
la lunette dans différens azimuts. Alors , quand on veut obser
ver la polarisation sur une substance solide , on la place à ce
centre , en la fixant avec de la cire sur un pied qui permette de
la faire tourner horizontalement ; puis on place une bougie à
l’une des divisions, et l’on incline la surface de la substance
jusqu’à ce que l’image réfléchie de la bougie reste à la même
hauteur que l’image directe. Quand on y est parvenu, la sur
face réfléchissante est verticale. Alors on fait tourner cette sur
face autour de son axe vertical, en suivant l’image réfléchie
avec un prisme de spath d’Islande achromatique, jusqu’à ce
qu’elle paraisse entièrement polarisée. Lorsqu’elle l’est, on re
garde à quelle division de la salle le rayon réfléchi prolongé va
aboutir, et l’on connaît ainsi l’angle qu’il forme avec le rayon
incident. Cette méthode, comme la précédente, a l’avantage
de pouvoir s’appliquer aux plus petits fragmens des substances,
sans cesser d’avoir une grande distinction dans l’image, parce
l'bougie.
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que l’œil en est placé tout près. Au reste, leurs résultats sont
parfaitement d’accord, comme on le verra plus bas.
Ces procédés ne sont plus applicables, quand on veut ob
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server la polarisation sur des liquides dont la surface supé
rieure est nécessairement horizontale. J’emploie alors l’appareil
nformité, parce
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représenté fig. 10. AB, AC sont deux tiges de fer divisées,
l’une verticale, l’autre horizontale. La première peut se trans
porter horizontalement, et son pied A est muni d’un vernier