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DE LA. LUMIERE. 2 g$
ïa force réfringente est insensible , le rayon passe sans se plier,
et la condition de la perpendicularité est remplie quand l’in-
eidence 6 est de 45°. Ce sont là , en effet, les deux limites ex
trêmes de polarisation, comme nous l’avons trouvé plus haut.
Je viens maintenant à un autre genre de phénomènes qui a
été découvert et décrit dans le même temps par Malus et par
moi, mais dont l’analyse et la loi appartiennent à lui seul (i).
En exposant ces phénomènes , je commencerai par les expé
riences que j’ai faites, parce qu’elles les rendent extrêmement
forme géométrie
«• }’ous la déduirai
! du milieu n dansk
msaiiou s’opère à!)
s l'incidence i, telle
apparens et faciles à observer. Je rapporterai ensuite celles de
Malus, qui en donnent une analyse rigoureuse et directe. J’en
déduirai la loi à laquelle il était parvenu, et qu’il a indiquée
dans la seule note imprimée qui nous reste de lui sur cette ma
tière. Enfin je montrerai, d’après des expériences nouvelles,
les modifications que cette loi exige, et j’essaierai de fixer le
n ,
r — iinl.
M
véritable point de vue sous lequel il me paraît qu’on doit l’en
visager.
éneire la substance
Yoici d’abord en quoi consiste le phénomène principal, tel
que je l’ai observé. Si l’on forme une pile de plusieurs lames de
verre parallèles, séparées les unes des autres par des inter-
et i t -{- i — 9°°
valles d’air, et que l’on présente obliquement cette pile à un
rayon de lumière naturelle, la lumière transmise se trouve mo-
oit, fi». il, AB la
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MCS «r infiniment
fiait parallèie-
iî la normale D ;
d le rayon réfléchi
contraire, <H
difiée en tout ou en partie comme si elle avait traversé un corps
cristallisé ; car, si on l’analyse à sa sortie en lui faisant traver
ser un rhomboïde de spath d’Islande, elle se divise générale
ment en deux faisceaux d’inégale intensité ; et même, si l’on
augmente suffisamment le nombre des glaces superposées , il y
a quatre positions rectangulaires du rhomboïde dans lesquelles
elle ne se divise point ,et alors la lumière transmise se comporte
comme si elle était complètement polarisée.
Ce phénomène n’a pas lieu seulement pour une incidence
(t) Les expériences de Malus et les miennes ont été lues à l’Institut le
n mars x8ir, et publiées peu de jours après dans le Moniteur. Il paraît
que les mêmes phénomènes se sont aussi présentés àM. Brewster; mais
son travail est presque de trois ans postérieur au nôtre, ayant été lu à
la Société royale le 37 janvier 1814*