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DE LA LUMIERE. 3 ol
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risée suivant le plan d’incidence : il s’en réfléchit une partie
que nous nommerons e', et il s’en transmet une autre o qui
conserve sa polarisation primitive. Dans ce cas, chaque glace
reçoit une certaine quantité de lumière qui dépend de sa
position dans la pile. Faisons maintenant tourner le plan d’in
cidence autour du rayon polarisé : la quantité de lumière
incidente sur chaque glace augmentera, parce que les précé
dentes lui transmettront la portion de la lumière qu’elles ont
cessé de réfléchir ; mais cette nouvelle portion n’est point
réfléchie par les glaces sur lesquelles elle tombe, parce qu’elle
se trouve polarisée perpendiculairement au plan d’incidence.
Elle les traverse librement sous cette inclinaison ; et ainsi, pour
chaque glace , la quantité de lumière réfléchie dans les différens
azimuts est encore e cos 2 i ; comme si elle se trouvait exposée
directement et isolément à la lumière incidente o' -j- e polarisée
toute entière dans le sens primitif du rayon. D’après cela, on
voit que l’intensité du faisceau polarisé par réfraction dans
chaque glace, perpendiculairement au plan d’incidence, sera
aussi égale àe' — e cos 2 z ou e sin 2 i ; et ce faisceau, traversant
librement toutes les glaces suivantes, parviendra tout entier
sans altération jusqu’au rhomboïde qui sert à l’analyser. L’en
semble de tous ces faisceaux formera donc un rayon total, dont
l’intensité sera égale à leur somme , et pourra être représentés
par E sin 2 i, puisque l’angle i est le même pour toutes les
glaces. Par conséquent, si l’on nomme O la quantité de lu
mière transmise par la pile lorsque i est nul, la quantité totale
qui sera transmise dans un azimut quelconque sera O -|-E sin 2 z;
et, de même que cela avait lieu dans le cas d’une seule glace,
elle se trouvera composée de deux parties polarisées diverse
ment , dont l’une O conservera sa polarisation primitive , et
l’autre E sin 2 z se trouvera polarisée perpendiculairement au plan
d’incidence. Si donc cette lumière est transmise perpendiculaire
ment à travers un rhomboïde de spath d’Islande, dont la section
principale fasse un angle quelconque « avec le plan de polari
sation primitive , elle se décomposera en le traversant précisé-