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DE LA LUMIERE. ¿07
sous diverses incidences , nous avons vu que son intensité $
communément très-faible sous l'incidence perpendiculaire ,
augmente aussi à mesure que les rayons deviennent plus obli
ques aux surfaces. De là nous avons dû conclure qu'e, sous
l’incidence perpendiculaire, les forces réfléchissantes repous
sent seulement les particules lumineuses qui se présentent à
elles dans les phases les plus voisines du milieu d’un accès de
facile réflexion, jusqu’à unecertaineamplitudede part et d’autre
de ce milieu , laquelle amplitude augmente avec l’obliquité de
sorte que, sous les dernières incidences, la réflexion peut
souvent s’étendre même à des molécules qui ont commencé uu
accès de facile transmission. Or, puisque l’effet de la polarisa
tion par réflexion est tout-à-fait insensible sous les incidences
voisines de la perpendiculaire , où les particules réfléchies sont
cependant les plus voisines du milieu de leurs accès , ne serait-ce
pas un indice que la force par laquelle cette polarisation est
produite s’exerce de préférence sur des particules lumineuses
éloignées du milieu des accès 5 mais que son énergie, croissant
avec l’incidence , elle devient capable d’atteindre des molécules
plus voisines de ce milieu ; en sorte que son influence dans le
rayon réfléchi commence à être sensible, lorsqu’elle arrive ainsi
à des phases d’accès qui sont aussi devenues efficaces ponr la
réflexion. Dès-lors l’incidence augmentant toujours , l’influence
de la polarisation dans le rayon réfléchi deviendra de plus en.
plus sensible , et si la nature du corps est telle $ que cette force,
sous une certaine incidence, puisse s’étendre jusqu’aux molé
cules qui sont au milieu de leur accès même, il arrivera qu’alors
la polarisation du rayon réfléchi sera complète. Mais au-delà
de ce terme, la force polarisante devra, d’après les phéno
mènes , perdre de son énergie , puisque le rayon réfléchi n’est
plus alors complètement polarisé, et ce seront les molécules
les plus voisines du milieu de l’accès qui devront lui échapper
les premières. Cela n’empêchera pas que la quantité totale de
lumière polarisée contenue dans le rayon réfléchi ne puisse
continuer à augmenter encore, si les nouvelles phases d’aecès
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