IIOIUJ
itie * résolvait*^
n!e5 ’T%ifaij^
,tl0Q rèhTeaaiu
traversaient. C’eiia
K 011 ¡«’emplia;
it des couleurs uii
'erse certainespiipi»
« flmt-glass. Cette
forces qui les pdt.
starisation noiti
aes; et cette faifc
k . '.rans le flint-piiï
lenes, üestiKÜspe
permette de présente
de positions cnnira«
¡/lem Tel est celui
ravon polarisé par
perpendiculalrems:
ilande achromat«
îe d’abord le prias
donne esactemect
s Ij section prie-
de polarisation iî
[¡Iisee en la Sfflt
. qni donne aussi an:
oser un prisme don!
itnboui* dont ils sot!
m sait que la section
ille conservera cette
cfiner nnpen la fa«
vec nn pareil Pn»
M t celle qni p*»» 8
mü i de polamaKt
PRODUITE PAR LES CORPS CRISTALLISES. 3ig
dans line position connue sur le second anneau A'A' de l’ap
pareil. Alors son action, comme cristal, dévie en général les
axes d’un certain nombre de particules lumineuses , fait naître
dans le prisme idiomboïdal une image extraordinaire , et en ob
servant les circonstances où disparaît cette image, ainsi que les
périodes d’intensités par lesquelles elle passe dans les diverses
situations delà lame et du rhomboïde , on parvient à détermi
ner le nouveau sens de polarisation imprimé au rayon lumi
neux. On peut encore substituer au rhomboïde une seconde
glace tellement dirigée, que le rayon polai’isé par la première
échappe à la réflexion sur sa surface. Ce sera l’appareil décrit
page 255. Alors, si l’on interpose la lame cristallisée entre les
deux glaces, la réflexion reparaîtra sur la seconde, et l’obser
vation des phases qu’elle éprouve fera connaître , comme pré
cédemment , le nouveau sens de polarisation imprimé par la
lame aux axes des molécules lumineuses. Dans ce cas , il faudra
ajouter à l’appareil un troisième anneau divisé , sur lequel la
lame puisse être fixée dans des positions connues.
Enfin, comme tous les phénomènes de polarisation qu’un
cristal peut produire sont liés à la force, soit attractive, soit
répulsive , par laquelle la double réfraction s’opèi’e , il est in
dispensablement nécessaire de connaître la direction de l’axe
dans les lames que l’on veut employer. Les lois de la polarisation,
mobile nous fourniront pour cela, dans la suite , des méthodes
très-promptes et très-simples; mais jusque-là nous devons
nous borner à celles qui nous sont données par les seuls phé
nomènes de la polarisation fixe. Or, d’après ces phénomènes,
lorsqu’un rayon polarisé traverse une plaque cristallisée épaisse,
et à surfaces parallèles , il y a deux positions seulement dans les
quelles il conserve tout entier sa polarisation primitive, savoir :
i°. quand la section principale de la plaque est parallèle au
plan de polarisation primitif du rayon , auquel cas celui-ci
traverse entièrement la plaqtie à l’état ordinaire ; 2°. quand la
section principale est perpendiculaire au plan de polarisation ,
auquel cas le rayon passe tout entier extraordinaire. Si donc,
ayant fait cette double expérience sur une plaque cristallisée, on