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PRODUITE PAR LES CORPS CRISTALLISÉS. 32T
ësl plus grande diagonale; de sorte qu’il fait avec le côté 36 un
angle de i6 3 i3' : ce qui suffit pour retrouver sa position dans
une lame quelconque de chaux sulfatée, d’après celle des côtés
du parallélogramme , lesquels sont facilement reconnaissables ,
puisque la lame se brise naturellement suivant leurs directions.
Les moyens que j’ai employés pour découvrir la position de cet
axe étant purement graphiques , et tels que la théorie de la
double réfraction les indique , je n’ai pas pu parvenir d’abord à
la précision que je viens d’assigner; mais les valeurs que j’ob
tenais se trouvant entre 16 et 17 0 , je les ai rendues rigou
reuses en les assujettissant à la condition que l’axe de double
réfraction se trouvât symétriquement placé dans le parallélo
gramme assigné par M. Haüy, ou dans un de ses multiples.
Pour vérifier ces résultats, j’ai taillé des prismes de chaux
sulfatée , dans lesquels une des faces était perpendiculaire à la
direction de l’axe déterminée comme je viens de le dire, l’autre
face lui étant oblique : lorsqu’on regardait une aiguille très-
fine à travers un pareil prisme , la face perpendiculaire à l’axe
étant tournée vers l’œil, on voyait une image unique de l’ai
guille, irisée par la dispersion; au lieu qu’en taillant des
prismes dans toute autre direction , on voit généralement deux
images irisées. Cette propriété de donner des images simples à
travers des faces prismatiques est, comme on sait, le caractère
de l’axe de double réfraction ; et la direction ainsi trouvée dans
les cristaux de chaux sulfatée est parfaitement confirmée par
les sens des sections principales indiquées sur des faces quel
conques par la polarisation de la lumière.
Mais, par une singularité qui tient vraisemblablement à la
structure lamelleuse de cette substance, lorsque des rayons
polarisés la traversent dans le sens de son axe, qui est aussi
celui de ses lames , ils en éprouvent encore une action. Nous
déterminerons plus loin les lois de ce phénomène. Ici, je me
bornerai à remarquer que l’agate et la tourmaline nous ont déjà
offert quelque chose d’analogue. Mais ces substances polari
saient fixement la lumière qui les traversait dans le sens de
leurs veines, au liexi que les lames de la chaux sulfatée ne pro-
Tome IV. 21