Full text: Traité De Physique Expérimentale Et Mathématique (Tome Quatrième)

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viendra nulle quand l’axe de double réfraction de la lame sera 
dirigé vers un des quatre points cardinaux; et elle atteindra 
son maximum dans les points intermédiaires, c’est-à-dire, 
quand l’axe sera dirigé dans les azimuts de 45° , i35°, 225°, 
3i5°. Tout ceci suppose que la lame est partout d’une épais 
seur parfaitement égale , et qu’elle est cristallisée régulièrement. 
Quel que soit le nombre et l’épaisseur des lames que l’on 
extrait ainsi d’un même morceau de chaux sulfatée, si la 
cristallisation en est régulière, les phénomènes de coloration 
qu’elles produiront sur la seconde glace seront limités de 
même, et suivront les mêmes périodes d’intensité dans tous 
les azimuts : en un mot, il n’y aura de différence entre ces 
lames et le cristal total, que dans la nature des teintes qu’elles 
donneront, laquelle variera avec leur épaisseur, jusqu’à dé 
générer en une blancheur parfaite, à une certaine limite d’épais 
seur qui, dans les morceaux les plus purs , peut être fixée à •— 
de millimètre, comme on le verra plus loin. 
Puisque chaque lame mince et homogène de chaux sulfatée 
ne colore la seconde glace que d’une seule teinte dans tous les 
azimuts, il s’ensuit qu’elle laisse passer librement tous les 
rayons qui composent la teinte complémentaire de celle-là , ou 
du moins qu’elle ne change pas leur polarisation primitive. On 
peut donc considérer la lumière totale comme composée de ces 
deux teintes , dont l’une , passant librement, reste polarisée par 
rapport au plan du méridien , et l’autre , qui est celle sur la 
quelle agit la lame , éprouve de sa part une polarisation nou 
velle , dont il nous faudra déterminer le sens. On arriverait 
également à cette conclusion , si, au lieu d’analyser la lumière 
transmise en se servant d’une glace , ony employait un prisme 
rhomboïdal achromatisé, dont la section principale serait di 
rigée parallèlement au plan de polarisation primitif. Alors l’in 
terposition de la lame déterminerait dans le prisme une image 
extraordinaire, colorée, exactement identique avec celle que 
la glace réfléchit. On pourrait encore employer , comme moyen 
d’analyse, une plaque de tourmaline incolore, ou une pile de
	        
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