№l
w peut être »ça«
PRODUITE PAR LES CORPS CRISTALLISAS. 3 2 3
ne changera pas de nature , mais son intensité variera. Elle de
ion de li chu i.
xoastance tmdw
)Q peut taire pee !s
de ces lames,u-
sueur, estraerii
¡oint à cette fe
ex que des de
la variété que; »
ix, les unesipid
altérer en rienles
instrument №
ncement de la®
i enlever à la*
Irucie appliqué
ions cesdetaili)!
jont indijpensit
pour apercevoir
5 sont assujettis
lottons-la sur lit
fixer les idées,®
w it blanc, vert»
o de réflejionsnrlt
rtical d’est <**
par exemple' 0
aara traversée ses
Kfle, soit qn’o« 1
!t pçxpen&ulait
^tactemen 1 '
j polarisât^ 1
.rveniràla^;
0 ate entière,» 1 ^
ne la la® e da!lS '
Hctila» e v celte !t "
viendra nulle quand l’axe de double réfraction de la lame sera
dirigé vers un des quatre points cardinaux; et elle atteindra
son maximum dans les points intermédiaires, c’est-à-dire,
quand l’axe sera dirigé dans les azimuts de 45° , i35°, 225°,
3i5°. Tout ceci suppose que la lame est partout d’une épais
seur parfaitement égale , et qu’elle est cristallisée régulièrement.
Quel que soit le nombre et l’épaisseur des lames que l’on
extrait ainsi d’un même morceau de chaux sulfatée, si la
cristallisation en est régulière, les phénomènes de coloration
qu’elles produiront sur la seconde glace seront limités de
même, et suivront les mêmes périodes d’intensité dans tous
les azimuts : en un mot, il n’y aura de différence entre ces
lames et le cristal total, que dans la nature des teintes qu’elles
donneront, laquelle variera avec leur épaisseur, jusqu’à dé
générer en une blancheur parfaite, à une certaine limite d’épais
seur qui, dans les morceaux les plus purs , peut être fixée à •—
de millimètre, comme on le verra plus loin.
Puisque chaque lame mince et homogène de chaux sulfatée
ne colore la seconde glace que d’une seule teinte dans tous les
azimuts, il s’ensuit qu’elle laisse passer librement tous les
rayons qui composent la teinte complémentaire de celle-là , ou
du moins qu’elle ne change pas leur polarisation primitive. On
peut donc considérer la lumière totale comme composée de ces
deux teintes , dont l’une , passant librement, reste polarisée par
rapport au plan du méridien , et l’autre , qui est celle sur la
quelle agit la lame , éprouve de sa part une polarisation nou
velle , dont il nous faudra déterminer le sens. On arriverait
également à cette conclusion , si, au lieu d’analyser la lumière
transmise en se servant d’une glace , ony employait un prisme
rhomboïdal achromatisé, dont la section principale serait di
rigée parallèlement au plan de polarisation primitif. Alors l’in
terposition de la lame déterminerait dans le prisme une image
extraordinaire, colorée, exactement identique avec celle que
la glace réfléchit. On pourrait encore employer , comme moyen
d’analyse, une plaque de tourmaline incolore, ou une pile de