Full text: Traité De Physique Expérimentale Et Mathématique (Tome Quatrième)

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PROÛUITE PAR LES CORPS CRISTALLISES. Ba5 
dans la suite , est une conséquence de la division de polarisa 
tion que nous trouvons ici aux deux teintes transmises à travers 
îa lame. 
On arrive au même résultat sur le sens de la polarisation 
nouvelle, si Гоп analyse la lumière transmise avec un prisme 
rliomboïdal de spath d’Islande, avec une plaque de tourmaline 
incolore, ou avec une pile de glace. L’axe de la lame étant sup 
posé dirigé dans l’azimut i, le prisme donne deux images blan 
ches , quand on dirige sa section principale dans l’azimut i. On 
en obtient une seule, mais pareillement blanche , quand on y 
dirige l’axe de la plaque de tourmaline ou le plan de réflexion 
de la pile de glace. Cet accord est une conséquence nécessaire 
de l’identité que nous avons reconnue entre les modifications 
imprimées à la lumière par ces divers procédés. 
Nous sommes ainsi conduits , par l’expérience, à reconnaître 
cette propriété fondamentale de la polarisation mobile : lors 
qu’un rayon blanc , polarisé suivant CX , fig. x 4-, tombe per 
pendiculairement sur une lame de cliaux sulfatée ,dont l’épais 
seur n’excède pas ^^de millimètre , et dont l’axe CA forme un 
angle quelconque i avec la direction CX de la polarisation 
primitive, le rayon transmis se trouve composé de deux fais 
ceaux diversement polarisés , l’un dans l’azimut zéro, c’est-à- 
dire, suivant la direction CX de la polarisation primitive; 
l’autre dans l’azimut 2г, c’est-à-dire , suivant la direction CX', 
également éloignée de l’axe CA. 
Déjà ceci nous explique pourquoi, dans noire première ex 
périence avec l’appareil à deux glaces , page З22 , la teinte E ré 
fléchie par la seconde atteignait son maximum dans le premier 
quadrans, quand l’axe de la lame formait un angle de 45° avec 
le plan primitif de polarisation. C’est que la teinte E , toujoui’s 
polarisée dans l’azimut double , tournait alors ses axes de 
polarisation suivant C Y, à angles droits sur CX. Or la seconde 
glace, ayant aussi son plan de réflexion dirigé suivant CY, 
dans le vertical d’est et ouest, se trouvait alors placée le 
plus favorablement possible pour réfléchir E en abondance, 
en laissant toujours passer O. Le même x-aisonnement explique 
les trois autres maxima qui ont lieu dans les quadrans suivans
	        
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