DF,S MOLÉCULES LUMINEUSES.
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que la réfrangibilité
réfrangibilité, cfll-
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que le temps T est absolument inappréciable pour nos sens ,
mais nous pouvons le calculer d’après les observations. Si l’on
représente par e' la plus petite épaisseur à laquelle la force
polarisante de la lame commence à être sensible, la comparai
son des phénomènes avec la construction de Newton montre
que le temps employé par la lumière pour traverser cet espace
est égal à la moitié du temps d’une oscillation complète, lorsque
la force polarisante de la lame a pris tout son accroissement.
Nommons R le rayon moyen de l’orbe terrestre. La lumière
parcourt cet espace en 8' i3" ou 493" ; par conséquent le temps
qu’elle mettrait dans le vide pour parcourir l’espace e' serait
proportionnellement — . Mais dans l’intérieur d’un corps
R
réfringent, ¿.a vitesse est plus considérable, suivant la propor
tion du sinus d’incidence au sinus de réfraction ; nommant
donc ri ce rapport pour l’espèce de cristal et de molécules
lumineuses que nous considérons , le temps du trajet dans
l’espace e sera moindre dans la même proportion j et nous
e' . 4q3"
aurons — pour le nombre de secondes que les molé
cules dont il s’agit emploient à traverser l’espace ; et ce sera
donc la valeur de \ T relativement à ces particules, et ainsi
t — c ' 986 '.
l’on aura,
ri R
Dans les lames de chaux sulfatée bien pure, l’épaisseur qui
répond au commencement du noir est o m ,000011777, comme
nous l’avons vu page 363. C’est la valeur de e pour Je violet
extrême. On a de plus , dans ces lames , n == ~ pour la lumière
jaune, d’après les expériences de Newton ; ce qui donne pour le
violet extrême ri ~ 4-7.frî > en supposant la dispersion égale à
celle du verre ordinaire , ce qui doit être peu éloigné de
la vérité. Substituant ces valeurs dans l’expression de T, i!
vient, relativement à ces particules,
1"
^ 12945 , R °