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DES MOLECULES LUMINEUSES. J}oi
d’un angle x , sa force de torsion est constamment proportion
nelle à l’angle i — x ; c’est ainsi qu’il continue ses oscilla
tions. Aussi, en faisant x = i—~ X, ce qui revient à compter
les arcs X à partir du milieu de chaque oscillation, on retrouve
pour X la même valeur que nous avons obtenue pour la tor
sion des fils , à la fin du premier volume.
Lorsque nous étudierons les phénomènes de polarisation
produits par des plaques d’un même cristal taillées en divers
sens relativement à l’axe , on verra, par toutes les expériences,
qu’à incidence égale , les temps des oscillations des molécules
lumineuses de réfrangibilité égale sont réciproquement propor
tionnels au carré du sinus de l’angle U, formé par l’axe du
cristal avec le rayon réfracté. Or, puisque nous avons
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les temps sont aussi réciproques aux racines carrées de la force
polarisante ; conséquemment, cette force elle-même , ici repré
sentée par a, est proportionnelle à sin4 U.
Parmi les phénomènes généraux renfermés dans ce chapitre ,
un des plus remarquables, sans doute , c’est que les molécules
qui sortent des lames minces se comportent, dans les corps qui
produisent la polarisation fixe, comme si elles avaient achevé
leur dernière oscillation , quoique les phénomènes de leur
transmission à travers d’autres lames minces prouvent, comme
je l’ai annoncé, et comme on le verra tout-à-l’heure, que cette
oscillation ne s’achève pas. Les phénomènes de la polarisation
fixe nous ont déjà offert quelque chose d’analogue ; car, lors
qu’un rayon lumineux a reçu ce genre de polarisation par la
réflexion sur une glace polie, il contient toujours des particules
tellement modifiées , que, si on les transmet à travers un rhom
boïde de spath d’Islande, elles s’y réfractent et s’y polarisent
ordinairement, quoique leur direction primitive de polarisa
tion soit bien loin de coïncider avec la section principale du
rhomboïde.
Tomk IV. ‘ 26