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SOUS LUS INCIDENCES OBLIQUES* ¿,by 
Le premier seul est un peu trop faible, ce qui indique que j’aurai 
mesuré le diamètre du premier anneau dans l’orangé foncé 
qui avoisine le rouge du premier ordre. Cela est d’autant plus 
probable, qu’ayant opéré avec la lumière artificielle d’une 
lampe à courant d’air, le rouge sombre et mordoré du pre 
mier ordre a dû être un peu effacé par l’orangé qui l’avoisine. 
Malgré cette légère imperfection, l’ensemble des trois résultats 
vérifie très-bien la loi de proportionnalité, indiquée par la 
théorie , entre les carrés des diamètres et les nombres de la table 
de Y uo bm.ü| ¿éèoqqng eco/fi'l anpn ammoo . [sur 
En élevant au carré la valeur de R donnée par notre for 
mule , on en tiçe 
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Sous cette forme, le multiplicateur de 4 R a dans le premier 
membre doit représenter le facteur commun qui nous a servi 
tout à l’heure , pour réduire à la table de Newton les mesures des 
carrés des diamèties, et que j’avais déterminé pour cela d’après 
l’ensemble des trois expériences. En l’égalant à son expression 
théorique, nous eri tirerons la valeur c de notre plaque, en 
parties de la même table ; nous aurons ainsi 
(2,3,15s)* = °’°‘ 02 * 76 ’ d ’ oil * = 46475,15; 
C’est l’épaisseur de notre plaque , évaluée en parties de la table 
de Newton, eu égard à l’intensité de la force polarisante du 
spath d’Islande; ou en d’autres termes, c’est l’expression de la 
teinte E que donnerait une pareille plaque, taillée parallèlement 
à l’axe de cristallisation. En divisant ce résultat par a3,5 , 
épaisseur de notre plaque en millimètres , on aura la valeur 
delà teinte E, correspondante à une lame de spath d’Islande 
parallèle à l’axe et d’un millimètre d’épaisseur. Cette valeur 
sera 1977|. On voit combien elle dépasse les limites de la table 
entre lesquelles la coloration est sensible, puisque ces limites 
sont fixées à 49 
Eifectuons la même évaluation pour la ehaux sulfatée, ou I»