SOUS LES INCIDENCES OBLIQUES. 4^5
l
)U J ours i Ц
: t point h
5 “ J aura ente
d’uue intensiti
,l \ et une teinte
»aervera sa poli-
11 ks deux fais.
f dans le prisse,
es lettres O , E.
le rhomboïde,
4 i
i).
J
lans le plan dt
: composé de la
ime que dans le
■on de cette nu
es par une croix
la F , pour bien
sous la forme
1 11 j
2 i t complément
re blanche dont
que la teinte O
cos 2 i est nul.
ainsi transmue
[e ceux que F,
es de la croix y
position pareil!*
is la vivacité des
dre à cause t-
ds sont mélangés
qui répondent aux quatre valeurs i=i35°, ¿^=ra r j5°',
i ~ 315°, parce que toutes ces valeurs de i rendent cos 2 2 i nul,
et rendent F 0 égal à O. Ces points répondent aux milieux des
(juatre quadrans compris entre les branches'de la croix noire :
aussi est-ce là que les couleurs de F 0 sont les plus vives. Mais
elles sont encore très-sensibles à quelques distances de part et
d’autre de ces quatre maxima , parce que cos 2 2 i, sans y être
tout-à-fait nul, est assez petit pour affaiblir considérablement
la portion de lumière blanche mêlée avec O. Cela donne à
cette partie des anneaux l’apparence de secteurs colorés qui
s’étendent dans chaque quadrans entre les branches de la croi^
blanche, leur axe formant avec ces branches des angles de 45°’
La discussion dans laquelle nous venons d’entrer montre
que tous les détails du phénomène sont, comme je l’avais
annoncé , des conséquences calculables de la polarisation mo
bile qui s’opère dans la plaque cristallisée, par les oscillations
des molécules lumineuses. Aussi le phénomène énoncé de cette
manière se présente sous un aspect aussi simple que général.
Eu effet, considérons d’abord le faisceau incident comme
composé d’une seule espèce de molécules lumineuses , par
exemple , du violet extrême ; et suivons par la pensée les
différentes fdes de ces molécules qui arrivent à l’œil en traver-
sant la plaque sous diverses obliquités. Parmi ces files, il y
en aura une qui suivra précisément l’axe de cristallisation de
la plaque : celle-là conservera entièrement sa polarisation pri
mitive ; et, parvenue au verre noir , elle ne s’y réfléchira
point. Il en sera même encore ainsi tout autour de l’axe, à une
certaine distance angulaire , jusqu’à ce que l’effet total e sin a 6'
de la force polarisante soit devenue assez énergique pour déter
miner le commencement des oscillations. Au-delà de ce terme,
les molécules violettes, entrant dans leur première oscillation, se
comporteront à leur sortie de la plaque comme si elles étaient
polarisées chacune dans l’angle 2¿ qui lui correspond, et cet effet,
se soutiendra, jusqu’à la valeur de 6' qui leur fait achever dans
la plaque cette oscillation toute entière. Mais alors, 0' aug
