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IMPARFAITE. 569
telles que les liquides , dont les molécules peuvent être censées
réparties uniformément dans toutes sortes de directions. Les
phénomènes de polarisation que nous avons observés dans
quelques-uns de ces corps 11e sont point en opposition avec
cette idée, car ils étaient produits par des forces individuellement
propres aux particules matérielles, indépendamment des posi
tions où elles peuvent être placées , au lieu que les phénomènes
qui maintenant nous occupent dépendent de l’état d’agrégation.
De même que nous venons de former des états neutres par
le croisement de systèmes dont les forces sont de même nature,
on pourrait en former avec des systèmes de nature opposée,
dont les axes seraient dirigés parallèlement. Concevez main
tenant qu’un corps constitué de l’une ou de l’autre de ces
manières , ou à la fois de toutes deux , soit contraint par
une cause quelconque de changer son mode d’agrégation, et
que ce changement fasse naître une inégalité sensible entre
l’énergie des actions des systèmes qui le composent. Aussitôt
ce corps produira les phénomènes de la polarisation mobile ,
et donnera des faisceaux colorés, si vous le faites traverser
par un rayon polarisé fixement. Si le changement opéré dans
son état d’agrégation est uniforme et constant dans toute
son étendue, ce corps produira aussi partout des effets pa
reils ; et en quelque point que le rayon le traverse, on n’aper
cevra , entre les teintes , que les seules différences déterminées
par les variations de l’épaisseur. Mais si certaines parties
sont plus modifiées que d’autres, ou le sont diversement, les
couleurs varieront aussi à épaisseur égale, et cette varia
tion pourra même s’étendre au sens et à la nature attractive
ou répulsive de la polarisation. On observe des phénomènes
tout-à-fait pareils dans le verre et les autres corps fondus que
l’on fait refroidir rapidement. Ces phénomènes, d’abord dé
couverts par M. Seebeck, ont été ensuite développés et ana
lysés par M. Brewster.
Pour les produire , il faut faire rougir des plaques de verre,
et les refroidir brusquement, soit dans l’air libre, soit en les
posant, par la tranche , sur une masse de métal froid. Ensuite
on se procure un large faisceau de lumière polarisée, en faisant